samedi 30 septembre 2017

Amiens: Une barrière s'effondre pendant le match de foot Amiens-Lille, 26 blessés dont 4 graves

Intercepté par les gendarmes à 195 km/h sur la Nationale 2 entre Soissons et Laon

Lundi, les gendarmes de Soissons ont intercepté un automobiliste en grand excès de vitesse : il roulait à 195 km/h au lieu de 110 sur la RN2 entre Soissons et Laon
L'homme, un retraité de 68 ans, a été intercepté lundi par les gendarmes de la brigade motorisée de Soissons au volant de sa Citroën C5. Il roulait sur la RN2 dans le sens Soissons/Laon. Sa vitesse constatée était de 195 km/h au lieu de 110. Son permis de conduire lui a été immédiatement retiré et son véhicule mis en fourrière.

Un lundi fructueux pour les gendarmes de l'Aisne puisque les militaires du peloton motorisé de Château-Thierry ont arrêté sur la Départementale 1 un jeune conducteur de 19 ans en permis probatoire. Il roulait à 175 km/h sur une route limitée à 90. Sa voiture a été également placée en fourrière et son permis a l’objet d’une rétention administrative.

Enfin, lors d’une patrouille sur la commune de Pleine-Selve, la brigade de proximité de Ribemont a intercepté un motard conduisant une grosse cylindrée sans casque. Lors du contrôle, il s’est avéré que le jeune homme, âgé de 19 ans, n'avait pas de permis de conduire et que la moto n'était pas assurée. Il sera convoqué devant le juge

Pour rappel, un dépassement de vitesse supérieur à 50 km/h entraîne une perte de 6 points sur le permis de conduire, rétention immédiate du permis de conduire et une contravention d'un montant de 1500€.


Aisnehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/aisne

vendredi 29 septembre 2017

Vingt idées de sorties pour votre week-end en Picardie

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Grande réderie d’automne d’Amiens, Foire-expo du Compiègnois, Festival de la broderie de Compiègne, expositions de maquettes animées et de voitures et motos anciennes à Péronne, son et lumière à Pont-Rémy, fête de la basilique à Saint-Quentin...

Marché du terroir et des traditions rurales
En présence d’une soixantaine d’exposants ; fabrication du boudin, pressurage des pommes à l’ancienne avec dégustation gratuite ; exposition de matériel agricole d’antan.
Acheux-en-Amiénois (80). Dimanche 1er octobre de 10 à 18h.

Grande réderie d’automne

Plus de 80 000 visiteurs et environ 3 000 exposants, venus de France et de l’étranger, sont attendus sur la réderie dimanche. Elle s’étalera dans le quartier des Halles et dans l’hyper centre d’Amiens. Un parking est mis à la disposition des visiteurs et rédeux au parc de la Hotoie ; des parkings souterrains seront ouverts : Jacobins et Saint-Leu de 6 h à 20 h, Amiens 2(24h/24) et Perret de 6 h 30 à 1 h 30.
Amiens. Centre-ville. Dimanche 1er octobre jusqu’à 17 h.

Western Angyville

Village western avec reconstitutions de campements amérindiens, trappeurs, nordistes ; DJ et danses country et indiennes.
Angy (60). Place Henri-Barbusse. Samedi 30 septembre et dimanche 1er octobre de 10 à 18h. Gratuit.

Pépinières et plantes d’exception

Sur le thème L’automne au jardin, une cinquantaine de pépiniéristes spécialisés, français et européens, présentent leurs collections de plantes rares ou méconnues ainsi que leurs dernières obtentions ; rencontres avec les professionnels et échanges de conseils.
Borest (60). Parc Saint-Vincent. Samedi 30 septembre et dimanche 1er octobre de 10 à 18h. 6€ ; moins de 12 ans, gratuit.

Festival de la broderie

Soixante-quinze créateurs professionnels – dont le styliste breton Pascal Jaouen qui a créé des tenues de scène pour Nolwenn Leroy - venus de plusieurs régions de France, du Luxembourg, de Belgique et d’Allemagne, présentent leurs créations.
Compiègne (60). Centre de rencontres de la Victoire, 112 rue Saint-Joseph. Du vendredi 29 septembre au dimanche 1er octobre de 10 à 18h. 3€. www.festivalbroderie.fr

Fête des possibles en Avre

Le collectif Demain dans nos mains promeut le développement durable à travers des animations : balade nature à la découverte des plantes sauvages et comestibles, pique-nique partagé zéro déchet, ateliers (vannerie sauvage, divers produits ménagers, construction par les enfants d’hôtels à insectes), projection du film L’urgence de ralentir de P. Borrel, suivie d’un échange.
Contoire-Hamel (80). Espace Pombourcq. Samedi 30 septembre de 10 à 19 h. 7 et 5 € ; moins de 15 ans, gratuit. www.fetes-des-possibles.org

Un roi prisonnier

Février 1525. Guillaume Gouffier de Bonnivet tombe sur le champ de bataille de Pavie et son ami, le roi François Ier, est fait prisonnier. A Crèvecœur, c’est la consternation : que va devenir la France sans son roi ? Voilà le thème du dîner-spectacle Le Roi prisonnier, écrit et mis en scène par Dominique Martens. Autour d’un repas, les spectateurs sont plongés au cœur de la Renaissance à la table de Louise de Crèvecœur. Devant eux, des comédiens en costumes d’époque racontent l’histoire.
Crèvecœur-le-Grand (60). Salle des fêtes. Samedi 30 septembre à 20 h, dimanche 1er octobre à 12 h, samedi 7 octobre à 20 h, dimanche 8 octobre à 12 h, vendredi 13 octobre à 20 h et samedi 14 octobre à 20 h. Tarifs : 35 et 25 € (dîner + spectacle). Réservation au 03 44 46 87 11 ; contact@salamandre-crevecoeur.com

Portes ouvertes à la Ferme de Beaumont

Environ 260 espèces d’animaux présentées, exposition-vente de poules d’ornement et de 10 000 volailles, visites guidées des élevages, marché gastronomique, animations.
Eu (76). Hameau de Beaumont. Samedi 30 septembre et dimanche 1er octobre de 9 à 18 h. Gratuit.

Fête de la pomme et du cheval

Pressage de pommes à l’ancienne, démonstration de maréchalerie, jeux picards, spectacles équestres, visite des écuries, marché artisanal et fermier.
Lachapelle-Saint-Pierre (60). 26, place du Bois-Morel. Dimanche 1er octobre de 12 h à 18h30. Gratuit.

Exposition militaire

Exposition de véhicules de la Seconde Guerre mondiale, reconstitution, exposition ; conférences Les camps cigarette par Michel Gros (samedi à 14 h 30) et Le général Patton (samedi à 16 h).
Liancourt (60). Ferme de la Montagne, avenue de la Faïence. Samedi 30 septembre et dimanche 1er octobre de 10 à 17 h. 3 € ; moins de 12 ans, gratuit.

Bal Trap et Les Banquettes Arrières

Pour l’ouverture de sa saison, l’espace culturel Picasso propose deux spectacles. Tout d’abord Bal Trap avec le collectif cirque La Contrebande. Six acrobates décident de jouer avec ce qui les entoure. Ensuite, place aux Banquettes Arrières, trois filles, comédiennes, clowns, improvisatrices hors pair, devenues chanteuses par accident. Leurs chansons, entièrement a cappella et sans aucun trucage, sont écrites comme autant de portraits qui grincent, qui décapent, qui dérapent parfois… mais toujours avec le sourire.
Longueau (80). Espace culturel Picasso, rue Anatole-France. Dimanche 1er octobre à partir de 16 h. Gratuit. Tél. 03 22 50 34 34.

Foire-exposition du Compiégnois

Avec 140 exposants dans les domaines de l’habitat, du bien-être, de la gastronomie, des véhicules et camping-cars… Les sapeurs pompiers, invités d’honneur, exposeront leur matériel et feront des démonstrations. Animations avec Julien Lepers, samedi de 11 à 18 h.
Margny-lès-Compiègne (60). Au Tigre. Du vendredi 29 septembre au dimanche 1er octobre de 10 à 19 h, lundi 2 de 10 à 18 h. 4€ ; moins de 12 ans et le lundi, gratuit.

Fred Pellerin

En ouverture de saison, le Chevalet accueille Fred Pellerin. Conteur québécois, il est connu bien au-delà de sa frontière natale. S’il est aussi à l’aise avec la chanson, c’est en tant que conteur qu’il vient présenter son dernier spectacle Un village en trois dés. Comme à son habitude, les personnalités de son village Saint-Élie-de-Caxton sont au cœur de son récit. On y parle d’amour, de guerre et sur chaque brassée d’un acte de foi et de ses grands mystères. Anecdotes, potins, rumeurs, il joue d’acrobaties verbales et enjolive le banal pour nous conter des histoires… toujours vraies !
Noyon (60). Théâtre du Chevalet. Samedi 30 septembre à 20h30. Gratuit. Réservation conseillée au 0344932820.

Foire de Sainte-Theudosie

Concours de chevaux, ovins, caprins et porcins ; expositions avicole et horticole, bourse aux oiseaux et visite du musée.
Oisemont (80). Dimanche 1er octobre. Gratuit.

Exposition de maquettes géantes et animées

L’Association des modélistes ferroviaires de la région d’Amiens (Amfra) présente modèles réduits d’avions, de bateaux, des réalisations en Meccano et des circuits de train miniatures sur 500 m² d’exposition. Parmi les plus rares et/ou spectaculaires figurent la machine à vapeur et ses wagons au 1/10e fonctionnant sur 12 m de voie ; la grande roue en Meccano commandée par ordinateur ; la fête foraine ; les dioramas militaires… L’Amfra se tient à la disposition des visiteurs pour répondre à leurs questions et échanger des conseils.
Péronne (80). Espace Mac Orlan. Samedi 30 septembre et dimanche 1er octobre de 10 à 18 h. Entrée 2 et 1 €, gratuite pour les moins de 8 ans.

Péronne Rétro mobile

L’Amicale Rando Auto Rétro et l’AAMP 80 (amicale auto moto Péronne 80) organisent cet important rassemblement de voitures et de motos anciennes (30 ans d’âge minimum) et de prestige. Au programme : exposition de voitures, bourse de pièces autos et motos, baptême en voiture de rallye, balades en Deuche et bus d’époque à la découverte de la vallée de la Somme. Le Péronne Rétro Mobile est organisé au profit de la maison des parents de Lille Fondation Ronald McDonald, une maison qui rapproche les parents de leur enfant hospitalisé.
Péronne (80). Parking McDonald’s et Bricomarché. Dimanche 1er octobre de 10 à 18 h. Gratuit.

Du bout de leurs plumes

Par la Cie Tout à Trac. Spectacle son et lumière commémoratif sur la Première Guerre mondiale au travers des écrits de poilus ou de leurs proches interprétés par des comédiens, des enfants, des figurants, une chorale, des danseurs, Tam Tam Percu, l’association de reconstitution Eperon 131.
Pont-Rémy (80). Parc du château. Vendredi 29 et samedi 30 septembre à 21h. 5 et 3€ ; moins de 12 ans, gratuit. Réservation 0322271207.

Fêtes Saint-Quentin

Pour fêter le saint patron de la ville, la basilique est richement décorée de fleurs et de bouquets. La Grande Chorale, évocation musicale et historique sur le thème Août 1917, l’incendie de la Basilique avec l’orchestre d’harmonie de Saint-Quentin (vendredi et samedi à 20 h 30, 10 et 6 €) ; mini-concerts (dimanche de 15 à 17 h, gratuit).
Saint-Quentin (02). Basilique. Du vendredi 29 septembre au dimanche 1er octobre. Réservation pour la Grande Chorale 0323623677.

Salon antiquités et métiers d’art

Une cinquantaine de professionnels français et européens participent à ce salon : antiquaires, ébénistes, restaurateurs de tableaux, de gravures et d’argenterie, tapissiers, doreurs et encadreurs d’art.
Senlis (60). Le Manège, quartier Ordener, rue des Jardiniers. Samedi 30 septembre et dimanche 1er octobre de 10 à 19 h. 4 €.

Bourse radio

Radios anciennes, matériel radio, réparation de vieux modèles.
Suzanne (80). Salle des fêtes. Dimanche 1er octobre de 9 à 17h. Gratuit.



Vingt idées de sorties pour votre week-end en Picardiehttp://www.courrier-picard.fr/60107/article/2017-09-28/vingt-idees-de-sorties-pour-votre-week-end-en-picardie

Logement social: le cri d’alarme de trois maires

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Les maires de Laon, Saint-Quentin et Soissons viennent d’écrire au président de la République, jeudi 28 septembre, concernant les menaces sur les offices publics HLM. «  Ne signez pas l’arrêt de mort du logement social, ne laissez pas tomber nos populations les plus fragiles. Dans nos villes, le logement social joue un rôle essentiel  », entament Antoine Lefèvre (LR, Laon), Frédérique Macarez (LR, Saint-Quentin) et Alain Crémont (DVD, Soissons) qui lancent «  un cri d’alarme  » contre une mesure gouvernementale qui leur serait fatale. Le trio d’élus évoque la demande faite aux bailleurs sociaux de baisser de 50 à 60 € les loyers, là où plus de 60 % des locataires bénéficient de l’APL. «  Nos villes ne survivront pas à cette mesure, argumentent les maires. Le bailleur public de Saint-Quentin perdra 2,2 millions de recettes pour un solde actuel de 1,4 M€. Résultat, cessation de paiement immédiate. À Laon, c’est une perte de 4,5 M€ d’annuel, à Soissons 1,4 M€. Nos populations seront alors livrées à elles-mêmes, sans entretien, sans gardien ou agent et le compte n’y sera pas financièrement de toute façon  ».
Via ce communiqué, les trois maires rappellent à l’Élysée que le département de l’Aisne compte aussi des villes moyennes qui ne roulent vraiment pas sur l’or. Une précision utile après la rencontre vendredi dernier du président du Département Nicolas Fricoteaux avec une conseillère d’Emmanuel Macron et où il fut d’abord question de ruralité et de déséquilibre des territoires.

Logement social: le cri d’alarme de trois maireshttp://www.courrier-picard.fr/60061/article/2017-09-28/logement-social-le-cri-dalarme-de-trois-maires


jeudi 28 septembre 2017

Il a revu Océane, seule rescapée du triple assassinat de Noyon

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Ce jeudi midi, rue du Moulin-Saint-Blaise, à Noyon, Bruno Fagard a pu étreindre la fillette de cinq ans qu’il avait écartée de la scène du drame, le 10 septembre.



Le témoin du drame du 10 septembre avait mis en sécurité la fillette. Ils se sont retrouvés grâce à la famille de celle-ci.

céane, 5 ans, a les yeux qui pétillent et le sourire innocent au moment de recevoir les trois peluches que Bruno Fagard, un Noyonnais de 55 ans, lui a apportées dans un sac. L’homme lui sourit, l’étreint et l’embrasse sur la joue. La scène discrète et touchante s’est produite jeudi 28 septembre à midi, devant le parking de la résidence Coallia (ex-Aftam) Saint-Blaise de Noyon : ce demandeur d’emploi a retrouvé pour une poignée de minutes la petite fille qu’il avait saisie et écartée de la scène du drame, sur le quai de la gare, quelques secondes après le triple assassinat du 10 septembre.
Ce matin-là, Alain Leuilly, fonctionnaire de police, avait abattu son épouse enceinte, Sindy, et deux de leurs cinq enfants, Melvine et Guilian, avant de retourner contre lui son arme de service. Bruno Fagard, arrivé fortuitement sur les lieux juste après les tirs, avait aussitôt mis en sécurité l’écolière, l’une des filles du couple, seule rescapée.

« Ce que je veux, c’est juste lui faire un gros bisou »

Le quinquagénaire, venu à l’hommage public organisé le 17 septembre sur le parvis de la gare, avait manifesté l’envie de revoir Océane. Surtout après avoir reçu une photo de la petite par SMS et plusieurs messages de remerciements de la part de la famille de Sindy, dont la majorité réside en Guadeloupe. «  Ça me tient à cœur, car ce jour-là, je n’ai eu le temps de ne voir que ses cheveux et son imperméable. Elle s’est tout de suite agrippée à ma jambe, s’est tenue à mon cou, confiait hier matin le témoin. Ce que je veux, c’est juste lui faire un gros bisou, la prendre dans mes bras. Et lui donner mes peluches  ».
La fillette, arrivée en voiture aux côtés d’un frère et d’une sœur, n’avait guère le temps de s’attarder : jusque-là hébergée dans une famille d’accueil du Compiégnois, elle devait s’envoler pour la Guadeloupe, en compagnie d’un oncle et d’une tante. «  Océane sera de retour dans le cocon familial  », assure un proche. De quoi rassurer Bruno Fagard, ce père de famille, ému en la circonstance : «  J’ai demandé à avoir de ses nouvelles jusqu’à ce qu’elle grandisse. Peut-être y aura-t-il même moyen, un jour, de la revoir  ».
Lui qui demeure à une centaine de mètres de la gare, dans un logement de l’association Coallia, le témoin reconnaît avoir vécu des journées difficiles : «  Depuis ma fenêtre, je vois le quai où tout s’est passé. Forcément, tout me revenait en tête, confie-t-il. Je dors désormais un peu mieux. Mais ça m’est impossible de regarder un film d’action, d’entendre des coups de feu… » Ce jeudi, c’était l’épilogue dans la douceur.

Il a revu Océane, seule rescapée du triple assassinat de Noyonhttp://www.courrier-picard.fr/60037/article/2017-09-28/il-revu-oceane-seule-rescapee-du-triple-assassinat-de-noyon

mercredi 27 septembre 2017

Margny-lès-Compiègne : Une péniche coule et pollue l’Oise

Depuis samedi, le Sans-Souci penche tristement, à moitié immergé dans l’Oise.

Cette péniche d’habitation a brûlé samedi soir dans le quartier de la gare de Margny-lès-Compiègne.

Plus de quarante pompiers ont dû intervenir pour circonscrire l’incendie, qui n’a fait aucune victime.

Deux jours plus tard, les sapeurs sont revenus sur les lieux. Mais cette fois pour installer deux barrages afin de contenir la pollution causée par le bateau.

En effet depuis l’incident, des taches sombres ont été détectées dans l'eau près de l’embarcation, accompagnées d’une forte odeur de carburant.

De son côté, la VNF (Voies Navigables de France) explique ne pas pouvoir intervenir hors décision de justice car il s’agit d’une propriété privée.

Contacté par nos confrères du Courrier Picard, le propriétaire de la péniche assure qu’il « est en train de prendre des mesures pour enlever la péniche, mais [que] c’est une situation compliquée ».

Lui qui était absent le jour de l’incendie soupçonne une tierce personne d’avoir causé ces dégâts.


  1. Margny-lès-Compiègnehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/oise/margny-compiegne

mardi 26 septembre 2017

Accident Saint Quentin : un homme blessé

BOUGE TV

Saint-Quentin, bd de Verdun, face au KFC. Les sapeurs-pompiers sont engagés pour un accident de circulation, deux voitures en cause. Un homme de 36 ans serait blessé

lundi 25 septembre 2017

Bapaume : un homme retrouvé mort dans l'incendie de sa caravane

Vendredi soir, vers 23h. Les sapeurs-pompiers sont appelés à Bapaume, dans les jardins communaux, pour un incendie de caravane. "Le véhicule était totalement embrasé", expliquent les pompiers, confirmant une information de la Voix du Nord. Ils éteignent le feu et découvrent alors le corps carbonisé d'un homme.

En l'état, le corps n'est pas identifiable. "Une autopsie sera réalisée en début de semaine, avec des tests génétiques, pour vérifier son identité", indiquent les gendarmes. Le Parquet d'Arras explique qu'il s'agit certainement du propriétaire de la caravane, "un homme d'environ 70 ans, un monsieur marginal mais sans histoires".

Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l'incendie et celles du décès. Elle a été confiée à la brigade de recherches d'Arras. "On se pose la question de la nature de l'incendie", confirme les gendarmes. Aucune piste n'est négligée.
Arrashttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/pas-calais/arras

dimanche 24 septembre 2017

3 Brasseurs Saint Quentin recrute

News In Aisne

News In Aisne message des 3 Brasseurs Saint Quentin

Dans le cadre de notre expansion nous recherchons en CDD serveuse 35H00, cuisiniers 35H00 et un runner pour le vendredi soir et samedi soir Merci de nous adresser votre CV 182 rue André Missenard 02100 Saint Quentin ou directement au restaurant. Merci


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Noyon : le succès de l’opération « Boutique à l’essai »


Noyon: le succès de l'opération "boutique à l'essai"

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Un appel à projet expérimental « École Régionale du Numérique »

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hebergement d'image La Région Hauts-de-France présente le dispositif « École Régionale du Numérique ».
La digitalisation de l'économie et les impacts de la numérisation concernent tous les secteurs d'activité.
Afin de répondre aux besoins d'emplois dans le domaine du numérique et favoriser l'insertion professionnelle des publics éloignés de l'emploi et de la formation, la Région Hauts-de-France lance le dispositif "École Régionale du Numérique".
Un appel à projet expérimental
Le dispositif « École Régionale du Numérique » prend la forme d'un appel à projet expérimental et vise à labelliser des formations s'inscrivant dans la dynamique nationale « Grande École du Numérique » (GEN). Ainsi les formations ciblées seront gratuites pour l'apprenant, courtes et opérationnelles et concerneront tous les niveaux de qualification selon les métiers.
Dédiées aux métiers numériques en tension, ces formations mettront l'accent sur l'ancrage territorial afin de répondre aux besoins des entreprises et des spécificités locales. Elles favoriseront enfin la mixité des publics et cibleront prioritairement les décrocheurs scolaires, les personnes très éloignées de l'emploi, les publics féminins, les publics issus des quartiers « politique de la ville », les publics des zones rurales et les personnes en situation de handicap.

Répondre à la digitalisation de l'économie

La digitalisation de l'économie et les mutations liées à la numérisation nécessitent l'adaptation et le développement de compétences spécifiques. Leurs impacts concernent tous les secteurs d'activité. Dans les entreprises des Hauts-de-France, ce sont en effet entre 500 et 3 000 postes qui ne sont pas pourvus tant dans les entreprises de la filière que dans celles qui se digitalisent.
Au-delà de ce dispositif, la Région s'engage dans un plan d'action plus global sur les compétences et talents numériques, notamment dans le cadre de la négociation de l'accord de branche impliquant l'ensemble des acteurs économiques.
La digitalisation de l'économie et les impacts de la numérisation concernent tous les secteurs d'activité. Afin de répondre aux besoins d'emplois dans le domaine du numérique et favoriser l'insertion professionnelle des publics éloignés de l'emploi et de la formation, la Région Hauts-de-France lance le dispositif "École Régionale du Numérique".

Dispositif « École Régionale du Numérique »

La Région Hauts-de-France organise une réunion de présentation

Lundi 25 septembre à 13h30

En présence de :
Karine Charbonnier, Vice-Présidente de la Région en charge de la formation professionnelle et des relations avec les entreprises et les entrepreneurs, Guillaume Delbar, Vice-Président de la Région en charge de la rénovation urbaine, du logement, de l'innovation sociale et numérique.

Siège de Région à Lille



151 avenue du Président Hoover

lire sur le blog vuduchateau.com          merci Laurence 

Région Château-Thierryhttp://www.vuduchateau.com/actu-5709-un-appel-a-projet-experimental-cole-regionale-du-numerique.html

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La brigade cynophile de la gendarmerie de Senlis


La brigade cynophile de la gendarmerie de Senlis

Lambersart : 200 personnes évacuées après la découverte de 5 bouteilles de gaz dans une voiture

"Il y a de fortes chances pour que ce soit quelque chose de tout à fait anodin", a précisé la source policière. L'alerte a été donnée par un riverain aux alentours de 22h30. Les services de déminage étaient sur place, à Lambersart, pour "un travail de précaution".

Fin août, un concert avait été annulé au dernier moment à Rotterdam après un signalement de la police espagnole. Le conducteur d'une camionnette transportant plusieurs bonbonnes de gaz à proximité de la salle de spectacles, avait été arrêté puis libéré.

En juin, une vaste opération de déminage avait été engagée après la découverte en Isère d'un véhicule où une dizaine de bouteilles de butane étaient dissimulées sous une bâche. Il s'était révélé que le propriétaire volait son employeur, une société de transport de marchandises dont des bouteilles de gaz.
Nordhttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0

samedi 23 septembre 2017

Saint-Quentin : l’appartement d’un rappeur incendié par des cocktails molotov

Hier soir, l’appartement du rappeur Saco a été visé par des cocktails molotov. L’artiste et sa famille étaient absents au moment des faits.
Mais ils ont assisté impuissants à l'incendie qui a ravagé leur logement.

A 22 heures, une vingtaine de sapeurs-pompiers se sont mobilisés pour circonscrire les flammes.


Le sinistre aurait ravagé tout l’immeuble de deux étages, situé à l’ange des rues de l’Industrie et Cronstadt.

Selon le Courrier Picard, trois personnes auraient été transportées à l’hôpital de Saint-Quentin, après avoir inhalé des fumées toxiques.

Pour le rappeur, aucun doute possible : il s’agit là d’un règlement de compte. Sur les réseaux sociaux, il a même publié la photo et le nom de l’homme qu’il considère comme responsable des faits.

Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes de l’incendie.


Hauts-de-Francehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/

Un nourrisson retrouvé mort dans un squat à Roubaix

Une famille Rom vivant dans un squat rue du Curoir à Roubaix a découvert dimanche dernier le corps inanimé de leur nourrisson aux côtés duquel ils dormaient. Les secours n'ont pas pu sauver l'enfant, âgé de trois mois.

Selon Michel Lepeche, du Collectif Solidarité Roms et gens du voyage, qui a plusieurs fois rencontré les parents, ce décès n'aurait "rien à voir avec les conditions de vie de la famille", dont le squat était fourni en eau et en électricité.

L'autopsie s'oriente en effet vers la mort subite du nourrisson, qui peut survenir pendant le sommeil chez les bébés de un mois à un an. La position du couchage ou le partage du lit avec les parents semblent figurer parmi les facteurs de risque.

Hasard du calendrier : le drame est survenu la veille de la semaine nationale de la prévention contre la mort subite de nourrisson.

Une enquête a été ouverte au commissariat de Roubaix.


Nordhttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0

jeudi 21 septembre 2017

Lille : le corps d'un grand-père décédé tombe sur le trottoir, la famille demande réparation

Bernard Dewasch, gérant du café "Le p'tit marin", rue du Faubourg des Postes est décédé le 13 juillet dernier des suites d'une longue maladie. Ce jour-là, les pompes funèbres viennent prendre son corps à domicile, pratiquent des soins de conservation puis le ramènent chez lui. Mais l'agent des pompes funèbres est seul pour effectuer l'opération. Il a du mal à pousser et notamment à passer une bordure et d'autres petits obstacles. Un des fils du défunt propose son aide. Une barre de transport lâche. Le corps tombe sur le trottoir.

"Cétait vraiment choquant, raconte Célia, la petite-fille. Mon grand-père est tombé la tête la première. Il a eu un gros hématome au visage et une entaille derrière la tête. C'est malheureusement la dernière image qu'on a eue de lui. Pour nous, l'employé n'aurait pas dû être seul. On paye assez cher pour qu'ils prennent leur dispositions. Des gens nous disent : "il n'a rien senti, il était mort". Mais c'est une question de dignité. Nous avons été choqués."

"Pas d'excuses"


Selon la famille, l'employé n'est cependant pas en cause. C'est un matériel défectueux qui est à l'origine de cet incident. Le problème, c'est que les pompes funèbres n'auraient présenté aucune excuse, proposé aucun dédommagement. "Ça peut arriver, reconnaît Roselyne, la fille de Bernard. Mais ils n'ont rien fait pour s'excuser." 

"Si le corps est tombé, c’est à cause de l’intervention intempestive d’un membre de la famille, répond à La Voix du Nord (qui a révélé cette histoire) une employée des pompes funèbres Montagne-Lemahieu qui conteste la version des faits de la famille. Que chacun prenne ses responsabilités. Que l’employé ait été seul est également parfaitement normal et habituel puisque nous travaillons avec un système de vérins."

La famille a décidé de ne pas en rester là et a écrit au Procureur de la République pour obtenir un dédommagement. En attendant d'avoir des nouvelles, la famille a bloqué le paiement du dernier tiers des obsèques (plus de 1000 euros). 

Lillehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/lille

mercredi 20 septembre 2017

Qualité des réseaux mobiles dans l'Aisne


Couverture téléphonique dans l'Aisne

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Accident mortel sur l'autoroute A1 dans le sens Paris-Lille

Un important accident impliquant un poids lourd perturbe la circulation sur l'autoroute A1 dans le sens Paris-Lille.

Il a eu lieu peu après 5h du matin, ce mercredi 20 septembre au niveau de la commune de Roye sur Matz, dans l'Oise.

Une retenue de 6km s'est formée à l'arrière de l'accident, précise la préfecture de la Zone de défense et de sécurité nord.

Le chauffeur du poids lourd est décédé.


Hauts-de-Francehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/

mardi 19 septembre 2017

Accident grave à Noyelles-sur-Mer

Un accident a eu lieu sur la commune de Noyelles-sur-Mer, dans la Somme, sur la Départementale 40 en direction de Port le Grand, ce mardi 19 septembre matin.
Une femme de 20 ans a percuté un arbre sur la Départementale 40 en direction de Port le Grand, au niveau de la commune de Noyelles-sur-Mer, dans la Somme, ce mardi 19 septembre peu avant 9h30.

La conductrice, âgée de 20 ans, est grièvement blessée. Elle a été héliportée sur le Centre Hospitalier d'Amiens Sud.


Hauts-de-Francehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/

dimanche 17 septembre 2017

Une centaine de personnes se recueille à Noyon en hommage aux victimes du triple-assassinat


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Après trente ans de spectacles, le “Souffle de la Terre” émerveille toujours à Ailly-sur-Noye


"Le Souffle de la Terre" dévoile son nouveau spectacle hebergement d'image

Transports : Ryanair annule 2000 vols jusqu'à fin octobre (vidéo)

À l'aéroport de Beauvais (Oise) ce samedi 16 septembre, Ryanair a supprimé deux vols. Les passagers n'ont été prévenus que vendredi soir, ces autres clients de la compagnie dont le vol est assuré sont solidaires. "Vous prévoyez des vacances, vous avez envie de partir ; si tout s'annule deux jours avant, ce n’est pas correct. Vous avez un contrat finalement avec eux, vous achetez votre billet. Vous avez un contrat avec eux, ils annulent, ils ne respectent pas leur partie du contrat", explique une voyageuse. Dans le monde, ce sont 2 000 vols qui sont annulés jusqu'à la fin octobre.

Diminuer les retards

La raison invoquée par la compagnie est une grande première : améliorer la ponctualité, mise à mal par les grèves, la météo et les congés à prendre des pilotes. Seuls 80% des vols sont à l'heure. "En annulant au moins 2% de nos vols au cours des six prochaines semaines, nous pouvons (...) restaurer la ponctualité au niveau de notre objectif annuel de 90%" a déclaré la compagnie. Le syndicat des pilotes SNPL n'est pas convaincu par ces arguments, pointant du doigt des problèmes d'embauche de la compagnie. Les passagers concernés seront transférés sur un autre vol ou remboursés, mais ne seront pas couverts en cas de frais supplémentaires.



  • Aéronautiquehttp://www.francetvinfo.fr/economie/aeronautique/

  • Transports : Ryanair annule 2000 vols jusquà fin octobre

    Déserts médicaux, l’Aisne en pole position

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    Yves Daudigny sénateur de l'Aisne présente un rapport sur les déserts médicaux.

    Il est difficile, en zone rurale mais pas uniquement, de trouver un généraliste pour une consultation. L'Aisne est l'un des départements de France les moins bien dotés en médecins.
    Yves Daudigny, sénateur de l'Aisne inscrit dans un rapport co-signé par Jean-Noël Cardoux, sénateur du Loiret leurs différentes idées pour lutter contre les déserts médicaux qui tendent à se généraliser.
    Selon eux, les initiatives de l'État, mais aussi des collectivités et des soignants eux-mêmes, sont bien trop diffuses, ce rapport présenté à l'Assemblée Nationale propose une marche à suivre et des idées à reprendre : un guichet unique pour les médecins, un lien direct entre le département et les ARS...

    Un tour de table des acteurs

    Ce rapport propose entre-autres, une concertation des acteurs concernés via l'ARS (Agences Régionales de Santé) " un tour de table pour que tous puissent s'organiser.
    Il préconise également la création d'un guichet unique pour les médecins, qui informerait sur les aides auxquelles les candidats à l'installation, peuvent prétendre  mais aussi pour les épauler dans leurs démarches, les mettre en contact avec des confrères...", détaille le sénateur, qui compte avant tout, miser sur le réseau.

    Innovation avec la télémédecine

    Afin de lutter contre les inégalités d'accès aux soins, les deux élus apportent une solution novatrice soutenue avant la grande Région par l'ARS de Picardie : La Télé- Médecine, avec la mise en place d'un cadre législatif financier permettant son développement.

    La télé-médecine comme solution ?

    Le rapport ne s'arrête pas là.
    Les sénateurs proposent de mettre en place un cadre législatif financier pour que la télé-médecine se développe. Une solution soutenue par l'ARS en Picardie.
    Depuis 2002, la région Picardie avait missionné le Groupement de Coopération Sanitaire (GCS) e-santé Picardie pour le développement des systèmes d'information numérisés en santé, et le regroupement de l'ensemble des acteurs...
    Dans l'immédiat, la télémédecine reste une pratique trop peu utilisée, peut être pour être trop méconnue du grand public !


    lire sur le blog vuduchateau.com                 merci Laurence 




  • Région Château-Thierryhttp://www.vuduchateau.com/actu-5659-deserts-medicaux-l-aisne-en-pole-position.html

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    samedi 16 septembre 2017

    Le cycliste renversé à Amiens est décédé

    Le jeune homme de 21 ans grièvement blessé par une voiture, dans la nuit de jeudi à vendredi, alors qu’il circulait à vélo sur le boulevard Maignan-Larivière, en plein centre-ville d’Amiens est décédé ce vendredi 15 septembre à 18 heures. L’accident est survenu vers 2 h 25 au niveau de l’esplanade Branly.
    Le jeune cycliste, étudiant en troisième année de médecine, originaire de Froyelles (au nord d’Abbeville) a été violemment percuté par une Polo et a été transporté dans un état critique au centre hospitalier Amiens-Picardie. Le conducteur de la voiture, un Amiénois âgé de 34 ans, a été interpellé et placé en garde à vue. Il est en cours de présentation au parquet d’Amiens ce samedi après-midi.
    Il affichait une alcoolémie de 1,94 gramme et était au volant malgré une annulation de son permis de conduire.
    L’accident est survenu à deux pas des habitations de la victime et du mis en cause. L’un est domicilié boulevard de Guyencourt, l’autre route de Rouen.
    La Brigade accident et délits routiers du commissariat d’Amiens a lancé un appel à témoin. Toute personne ayant assisté à cet accident est priée de se rapprocher de la police au 03 60 28 52 05 ou 03 60 28 52 06 à partir de ce lundi.

    Le cycliste renversé à Amiens est décédéhttp://www.courrier-picard.fr/56951/article/2017-09-15/le-cycliste-renverse-amiens-est-decede

    Sailly-sur-la-Lys organise un hommage à Inès et Jinen, mortes dans l'accident d'Erquinghem-Lys

    Inès, 10 ans et sa soeur Jinen, 7 ans sont décédées ce jeudi dans un accident sur le trajet de leur école, Sainte-Colombe à Armentières. Elles habitaient Sailly-sur-la-Lys. Leur décès a suscité beaucoup d'émotion dans le secteur. La commune a décidé d'organiser, en accord avec la famille, un hommage ce samedi.

    Il aura lieu entre 20 h et 22 h sur les berges de la Lys, côté halte nautique. "Notre commune est profondément bouleversée par le décès de Inès et Jinen, deux fillettes saillysiennes de 7 et 10 ans, lors d'un accident de voiture jeudi matin, peut-on lire sur le site de la commune. Afin de soutenir les parents dans cette terrible épreuve et de rendre hommage à Inès et Jinen, nous invitons les personnes qui le souhaitent à partager un temps de recueillement à la mémoire des petites filles, samedi 16 entre 20h00 et 22h00."

    Appel à témoins


    L'accident s'est produit jeudi matin, à Erquinghem-Lys. Une voiture a percuté de plein fouet un poids-lourd arrivant en face, causant la mort de deux fillettes. Leur mère, légèrement blessée, a été transportée au centre hospitalier de Lille. Pour une raison qui reste à déterminer, elle aurait quitté sa voie de circulation, et le poids lourd n’a rien pu faire pour l’éviter.

    La gendarmerie a lancé aujourd'hui un appel à témoins. Toute personne ayant assisté à l'accident est priée de contacter la gendarmerie d'Hallennes-lez-Haubourdin au numéro suivant : 03.20.07.17.03.
    Nord Pas-de-Calaishttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-pas-calais
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    Des secouristes picards au chevet de St Martin


    Les secouristes de Fausi prêts au départ pour St Martin hebergement d'image

    vendredi 15 septembre 2017

    Une enquête ouverte pour violences volontaires sur un bébé à Noyon

    Dimanche, un jeune couple de Noyon s'est présenté à l'hôpital de Compiègne : leur bébé présentait des lésions crâniennes. Le parquet de Compiègne a ouvert une enquête pour violences volontaires sur mineur de moins de 15 ans par ascendant. L'enfant est toujours hospitalisé.
    Ils se sont d'abord présenté au CH de Compiègne avec leur bébé d'un mois et demi. L'enfant, un petit garçon, présentait des blessures importantes à la tête. Dirigé vers le CHU d'Amiens, le couple d'une vingtaine d'années y est finalement interpellé après un signalement fait aux autorités.

    Face à la gravité des lésions crâniennes que présente le bébé, le parquet de Compiègne décide d'ouvrir une enquête pour "violences volontaires ayant entraîné une ITT de plus de 8 jours sur mineur de moins de 15 ans par ascendant".
    D'après les premières investigations, les enquêteurs ne s'orientent pas vers la thèse du "bébé secoué", selon Virgnie Girard, procureur de la République de Noyon : "il s'agit de déterminer la datation de la survenue des faits et les circonstances ayant entraîné ces violences".

    Placés en garde à vue, les jeunes parents originaires de Noyon ont été placés sous contrôle judiciaire. Ils sont inconnus des services de police et des services sociaux. Ils n'ont pas d'autres enfants.

    Le petit garçon est toujours hospitalisé à Amiens. Une ordonnance de placement provisoire a été prise.

    Se pose désormais la question d'éventuelles séquelles neurologiques et/ou physiques, explique le procureur.


    Noyonhttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/oise/noyon

    Drame de Noyon (60) : une collecte lancée pour aider la famille

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    Un rassemblement est prévu dimanche à Noyon pour rendre hommage aux victimes du drame de dimanche dernier. Un fonctionnaire de la police de Paris, âgé de 38 ans, avait abattu sa femme et deux de ses enfants sur le quai de la gare avant de retourner son arme de service contre lui. L'homme n'aurait pas supporté que son épouse le quitte.
    Dimanche, à 11 h 45, les villes de Noyon et Guiscard invitent la population à un rassemblement silencieux, sur le parvis de la gare, pour rendre hommage aux victimes. Une messe d’hommage sera par ailleurs célébrée dans l’église Saint-Quentin de Guiscard, où résidait la famille, ce vendredi à 15 heures.
    Par ailleurs, une quête a été lancé par la mairie de Guiscard, directement au secrétariat et sur un site de financement participatif. L'argent récolté servira à payer les obsèques des victimes et à soutenir les trois enfants orphelins après ce drame.

    Actus Localeshttp://www.mycontact.fr/news/actus-locales-139/1 


  • jeudi 14 septembre 2017

    Levothyrox : un député de l'Aisne demande une commission d'enquête parlementaire

    "Un nouveau scandale de santé publique", c'est ainsi que Julien Dive, député LR de l'Aisne, qualifie la nouvelle formule du Levothyrox. Le médicament, prescrit pour soigner les troubles de la thyroïde, fait l'objet d'une polémique depuis plusieurs semaines. Depuis que sa formule a été modifiée, de nombreux patients se plaignent d'effets secondaires handicapants. Ils sont des milliers à se plaindre, et une nouvelle vague de cinquante plaintes doit être déposée jeudi au parquet de Paris.

    L'élu de l'Aisne a donc adressé un courrier et une question écrite à la ministre de la Santé Agnès Buzyn pour réclamer le retrait du médicament actuel, et demandé la création d'une commission d'enquête parlementaire à ce sujet. 

    Retour à l'ancienne formule ?


    Il fustige "l'inaction du gouvernement", qu'il trouve "incompréhensible". Affirmant que le "changement de formule a été décidé de façon unilatérale, sans concertation avec les utilisateurs", il se demande "si les patients français sont des cobayes" et ajoute que certains ont même été "redirigés par leur médecin traitant vers la Belgique afin de se procurer l'ancien Levothyrox".

    Comme de nombreux plaignants et certaines association, il réclame le retour à l'ancienne formule. C'est aussi le cheval de bataille de Paul-Henri Delarue, avocat au barreau d'Amiens qui représente une patiente originaire d'Arras. 

    Aisnehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/aisne

    Erquinghem-Lys : deux enfants de 7 et 10 ans tués dans un accident de la route (vidéo)

    Drame de Noyon : une cagnotte ouverte par la mairie de Guiscard

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    La municipalité de Guiscard dans l'Oise a ouvert une cagnotte pour permettre à la famille des victimes du drame de Noyon de supporter notamment les frais d'obsèques. Dimanche, un père de famille a tué sa compagne et 2 de leurs 5 enfants sur un quai de la gare avant de se suicider

    La municipalité de Guiscard a ouvert une cagnotte en soutien à la famille des victimes du triple assassinat de Noyon. Les fonds récoltés seront entièrement reversés à la famille pour subvenir aux obsèques et pour soutenir les enfants.

    Une urne est également mise à disposition au secrétariat de la mairie de Guiscard où vivaient le couple et leurs 5 enfants.

    Un recueillement est organisé devant la gare de Noyon dimanche 17 septembre en fin de matinée et ne messe d'hommage sera célébrée à l'église de Guiscard vendredi 22 septembre à 15h.

    Dimanche, un père de famille a tué sur le quai de la gare de Noyon sa compagne et 2 de leurs 5 enfants avant de se suicider. L'homme, un policier de la préfecture de police de Paris, a utilisé son arme de service.

    Hauts-de-Francehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/

    Drame à Noyon: le geste fou d'un père qui tue sa famille

    Dimanche dernier, un policier a tué sa femme et deux de ses enfants avant de retourner son arme contre lui. L'épouse venait de lui annoncer qu'elle le quittait. L'enquête devra notamment déterminer si l'homme était autorisé à disposer de son arme de service en dehors de ses heures de travail.


    Erquinghem-Lys : deux enfants de 7 et 10 ans tués dans un accident de la route

    Terrible accident de la route ce matin à Erquinghem-Lys, sur la D945. Une voiture a percuté de plein fouet un poids-lourd, en face-à-face. Deux enfants, âgés de 7 et 10 ans, se trouvaient dans la voiture et ont perdu la vie après désincarcération, ont indiqué les pompiers. 
    La conductrice du véhicule, la mère des enfants originaire de Sailly-sur-la-Lys est légèrement blessée. Elle a été transportée au centre hospitalier de Lille. Le conducteur du poid-lourd est indemne.  Selon La Voix du Nord, la maman qui était sur le chemin de l'école, pourrait avoir voulu éviter un chevreuil qui traversait la route. Elle aurait alors percuté le camion.

    Une déviation a été mise en place rue de l'Alloeu, réputée accidentogène. 


    Armentièreshttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/lille-metropole/armentieres

    Tuerie à Noyon: une voisine des victimes témoigne

    mercredi 13 septembre 2017

    Drame conjugal de Noyon : la tristesse de la famille

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    Une guadeloupéenne et deux de ses cinq enfants ont été tués dimanche à Noyon dans l'Oise en Picardie. La jumelle de l'une des jeunes victimes a pu s'enfuir. A Anse-Bertrand, la famille de la mère est sous le choc. Témoignages de la famille
    La famille Daupin à Anse-Bertrand, commune de la pointe Nord de la Grande-Terre en Guadeloupe, est toujours sous le choc de la terrible nouvelle qui est tombée dimanche matin. Sindy, mère de 34 ans et fille d'une famille de 12 enfants, a été tuée par arme à feu par son mari (guyanais) sur le quai de la gare de Noyon, petite ville du département de l'Oise en Picardie. Le père n'hésitera pas à tuer également ses fils Melvin, 5 ans, et Gillian, 3 ans. Océane, la jumelle de Melvin présente au moment du drame a réussi à s'enfuir. Elle a été prise en charge par les secours après le drame. Le père de famille, un agent de la police, a retourné l'arme contre lui et s'est donné la mort. L'homme n'a pas supporté la décision de sa femme de le quitter.
    Témoignages
    Marie-Josiane, la mère de Sindy, n'en revient toujours pas. Elle l'avait eu au téléphone quelques minutes avant le drame, elle lui avait fait part, ce dimanche matin, de sa décision de quitter son mari et de partir avec ses cinq enfants. Sindy devait rejoindre sur Paris l'un de ses frères. Elle attendait alors les dernières nouvelles promises par sa fille. Mais quelques dizaines de minutes plus tard, ce sont les autres enfants de Marie-Josiane en Guadeloupe qui arrivent au domicile de leur mère. Ils lui annoncent la terrible nouvelle : la mort de Sindy et celle de deux de ses enfants. Elle ne comprend pas. Sa fille avait déjà quitté le foyer conjugal et était sur le point de rejoindre la capitale. Au lendemain de ce drame, Marie-Josiane est partagée entre souffrance et colère. La priorité aujourd'hui pour elle : faire revenir ses petits-enfants encore vivants en Guadeloupe.
    Pour Christophe, le frère de Sindy et coureur cycliste de l'équipe 'UVN,' d'Anse-Bertrand, c'est aussi une grande souffrance. Il est dévasté. Sa soeur aînée était sa première supportrice. Il n'imaginait pas que la situation était si tendue dans le couple quand il a eu pour la dernière fois Sindy au téléphone vendredi dernier. Il reconnait que "sa voix était différente" mais il avait mis cela sous le coup de Sindy était enceinte au moment du drame.
    Les faits
    Dimanche matin à Guiscard au domicile du couple prés de Noyon, Sindy maman de 34 ans, se dispute avec son mari fonctionnaire de police, âgé de 38 ans. Ensuite, elle appelle sa mère en Guadeloupe pour lui annoncer qu'elle le quitte. La gendarmerie est alertée après cette violente dispute. Arrivés sur les lieux, les gendarmes réussissent à calmer la situation. Le mari accepte même que sa femme parte à la garde de Noyon, à quelques kilomètres du domicile, avec les enfants. L'un des voisins se propose de déposer la mère et ses enfants. Mais tout le monde ne peut pas monter dans la voiture. Les deux aînés attendront au domicile du voisin avec son épouse et les trois autres montent dans la voiture.
    Le voisin dépose Sindy, Gillian le petit dernier âgé de 3 ans et les jumeaux Océane et Melvin, âgés de 5 ans. Il racontera à nos confrères du Parisien, que de retour à Guiscard, il découvre que le véhicule du père n'est plus là. Il embarque les deux aînés, Bryan et Katrina, et fonce vers la gare de Noyon. Mais dans le même temps, le père est déjà arrivé à la gare. Il fait irruption sur le quai. Il abat froidement ses deux garçons présents et tire à plusieurs reprises en direction de sa femme. La petite fille réussit à prendre la fuite. Elle sera prise en charge par la suite avec ses frères par les secours.
    Une enquête a été ouverte et elle devra permettre de savoir si l'arme utilisée par le fonctionnaire était son arme de service. Les enquêteurs tentent aussi de retrouver un témoin du drame dimanche matin, qui a pris la fuite à ce moment-là
             
    1. Faits Divershttps://www.rci.fm/infos/faits-divers

    mardi 12 septembre 2017

    Après le drame à Noyon, «je n’ai eu qu’une question: pourquoi?»

    Un ami du policier qui a abattu ses proches et s’est suicidé avant-hier confie son émotion. Une cellule d’écoute a été mise en place dans les deux écoles du quartier Saint-Barthélemy
    C'est incroyable que ce soit lui… » Le ton des parents d’élèves du quartier noyonnais Saint-Bathélémy (ex-Réservoirs) était encore marqué par la stupeur, hier matin. Au lendemain du drame familial qui a fait quatre morts (lire ci-dessous), le souvenir du tireur anime les rares conversations : ce père de famille, originaire des Antilles, était surtout connu pour son air jovial, à la sortie des classes. Les deux enfants abattus, Melvine, 3 ans, et Guilian, 5 ans, étaient respectivement écoliers en petite et grande section de la maternelle Marcel-Provost. Deux autres enfants de la fratrie sont inscrits en classe à l’école élémentaire éponyme, de l’autre côté de la rue. Hier, ces derniers étaient «  pris en charge  » annoncent les services de l’Éducation nationale qui n’ont pas souhaité laisser ce quartier seul, sous l’émotion.

    « La cellule s’adresse aux enfants, mais aussi au personnel : le but est de gérer les réactions »

    Une cellule d’écoute a été mise en place dans les deux écoles, composée de quatre personnes, toute la journée d’hier : «  Des moyens spécifiques de la circonscription académique de Noyon ont aussi été mis en place, avec des enseignants, en cas de besoin, précise Bruno Brandolan, l’inspecteur d’académie en charge du secteur. La cellule d’écoute s’adresse non seulement aux enfants, mais aussi au personnel au sens large. Le but est notamment la prise en charge des réactions.  » Une initiative approuvée par une mère de famille : « Savoir que c’est le copain ou la copine qui n’est plus là, ça peut choquer nos petits. » La plupart ont découvert le matin-même l’identité des victimes, en découvrant l’affichette apposée devant la grille.
    Le père d’une élève de la classe de Guilian, habitant du quartier Saint-Blaise, a du mal à cacher sa peine : il fréquentait l’auteur des faits à la nouvelle salle de sport privée de la rue Michelet. «  Plusieurs fois par semaine, on faisait ensemble de la musculation. Plus expérimenté que moi, il me montrait des exercices. Je suis abasourdi : il était calme, courtois. En le voyant, vous auriez voulu être son ami. Ce n’était pas un coléreux. Il était respectueux, toujours à la disposition de tout le monde… » Vendredi dernier, ce trentenaire avait d’ailleurs brièvement croisé celui qui allait commettre le triple homicide : «  Je l’ai salué, comme d’habitude. J’avais mal quand j’ai appris la nouvelle. Je n’ai eu qu’une question : pourquoi ? En tant qu’ami, j’aurais aimé être là. Sans doute a-t-il manqué une personne à ses côtés, à cet instant précis, pour l’empêcher d’agir. Je suis très triste pour lui aussi, même si je condamne fermement ce qu’il a fait. Rien ne justifie la mort. »
    Ce proche du tireur, dont un neveu est dans la classe de Melvine, comptait, hier, aborder ce délicat sujet avec sa fillette de quatre ans. «  Je vais lui dire : ‘‘Tu sais, il y a eu un souci. Un de tes copains a perdu la vie, car il y a des problèmes familiaux.’’ Bien sûr, je vais employer des termes pour les enfants, utiliser des petits dessins.  »
    Dans les rues calmes longeant les HLM des Réservoirs, les expressions d’émoi sont restées contenues. À l’image du commentaire laconique d’un agent municipal accompagnant la sortie des écoles : «  C’est un drame, il n’y a pas d’autre mot.  
    Après le drame à Noyon, «je n’ai eu qu’une question: pourquoi?»http://www.courrier-picard.fr/55977/article/2017-09-11/apres-le-drame-noyon-je-nai-eu-quune-question-pourquoi

    À scooter, ils volent le portable d’un piéton à Saint-Gobain

    Ce mardi 12 septembre, vers 14 heures, un jeune homme de 22 ans circule à pied à Saint-Gobain quand un scooter arrive à sa hauteur. Deux individus casqués le chevauchent, le passager arrachant le portable des mains de son propriétaire alors que celui-ci rédige un sms. Dans l’action, la victime n’a pas le réflexe de relever le numéro de plaque d’immatriculation. Pire, il ne se rend pas tout de suite à la gendarmerie. Lorsque, environ deux heures après, il va porter plainte, il est un peu tard pour que les gendarmes aient une chance de mettre la main sur l’engin et ses passagers.
    À scooter, ils volent le portable d’un piéton à Saint-Gobainhttp://www.aisnenouvelle.fr/41228/article/2017-09-12/scooter-ils-volent-le-portable-dun-pieton-saint-gobain

    Ivre, elle s’enfuit avec ses enfants après l’accident à Amiens

    Une collision entre deux véhicules s’est produite ce lundi vers 17 h 30 à proximité de la rue Chauvelin, dans le quartier Saint-Roch.
    Au volant de l’un des véhicules : une Amiénoise de 31 ans qui transportait ses enfants.
    Après l’accident, cette dernière a eu un drôle de comportement : au lieu de sortir de son véhicule et de venir discuter avec le chauffeur de l’autre voiture, elle a voulu quitter les lieux. Mais, bloquée par l’autre véhicule, elle a finalement abandonné et coupé son moteur.
    Elle est ensuite sortie de sa voiture, a pris ses enfants, et a tenté de quitter les lieux à pied. Le chauffeur de l’autre voiture a alors décidé de contacter la police et de la suivre.

    Son alcoolémie s’élevait à 2,18 grammes par litre de sang

    Lorsque les forces de l’ordre sont arrivées sur les lieux, la maman a indiqué ne pas être en possession de ses papiers. N’habitant pas très loin des lieux de l’accident, les policiers l’ont escortée jusqu’à son domicile.
    Là, ils se sont rendu compte qu’elle était ivre. Une conviction confirmée par le test d’alcoolémie.
    Cette conductrice roulait malgré une alcoolémie de 2,18 grammes. Elle a été conduite au commissariat. Les enfants, eux, ont été confiés à leur grand-mère.         
               Ivre, elle s’enfuit avec ses enfants après l’accident à Amienshttp://www.courrier-picard.fr/56106/article/2017-09-12/ivre-elle-senfuit-avec-ses-enfants-apres-laccident-amiens

    Triple homicide à la gare de Noyon : le récit d'un témoin (vidéo)

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    Dimanche matin, un homme a assassiné sa femme et ses deux enfants avant de se donner la mort à Noyon, ne supportant pas qu'elle le quitte. Un homme a assisté à la scène et a mis en sécurité la fillette indemne
    Dimanche matin, un homme a assassiné sa femme et ses deux enfants avant de se donner la mort à Noyon, ne supportant pas qu'elle le quitte. Un homme a assisté à la scène et a mis en sécurité la fillette indemne.
    Par Quentin Vasseur


    L'émotion est forte au lendemain du triple homicide qui a été commis à la gare de Noyon (Oise). Une mère de famille et deux enfants assassinés par le père, un fonctionnaire de police qui a ensuite retourné son arme de service contre lui.

    Le premier sur les lieux du crime


    Bruno Fagard a été témoin de ce drame conjugal dont n'a réchappé qu'une fillette de cinq ans. "La petite, elle était là en train de crier quand elle m’a vu arriver" raconte-t-il, ému.

    "Je l’ai rattrapée, je l’ai mise à côté de moi, et puis quand j’ai vu l’arme et la personne par terre, je l’ai mise en sécurité." Sur le lieu du crime, il découvre également les corps des trois victimes. "Vu l’état des blessures, il y avait rien à faire."

    À Guiscard, à 10 km au nord, le voisinage décrit "un couple sans histoire, sans disputes". Pour le maire (Sans Etiquette) Thibault Delavenne, "ils étaient plutôt discrets dans la commune, mais très polis, très courtois, très gentils."

    Noyonhttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/oise/noyon

    Après le drame de la gare de Noyon, l'émoi à Guiscard