mercredi 30 août 2017
Nord : disparition inquiétante d'un homme de 30 ans
La gendarmerie nationale diffuse un appel à témoin pour la disparition inquiétante d'un homme de 30 ans.
Il a disparu dans la région de Salbris (Cher) mais la gendarmerie du Nord relaye l'appel à témoins car Laurent Gross, 30 ans, été localisé dans le département du Nord quelques jours auparavant.
Les personnes ayant eu des contacts fin juillet avec lui ou l'ayant aperçu depuis peuvent prendre contact, peuvent contacter immédiatement la brigade de gendarmerie la plus proche ou composez le 17.
Hauts-de-Francehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/
Il a disparu dans la région de Salbris (Cher) mais la gendarmerie du Nord relaye l'appel à témoins car Laurent Gross, 30 ans, été localisé dans le département du Nord quelques jours auparavant.
Les personnes ayant eu des contacts fin juillet avec lui ou l'ayant aperçu depuis peuvent prendre contact, peuvent contacter immédiatement la brigade de gendarmerie la plus proche ou composez le 17.
Hauts-de-Francehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/
Un coup de poing pour le sapeur-pompier
Ce matin, les sapeurs-pompiers de Pont-Ste-Maxence ont été sollicités pour carence d’ambulance privée. Après avoir pris en charge une jeune femme diabétique, le Véhicule de Secours et d’Assistance aux Victimes a fait route vers le centre hospitalier de Senlis, suite à la régulation avec le Samu. Après seulement quelques mètres, un homme bloque le véhicule des secours. C’est un ancien petit ami de la victime. Il arrive à entrer dans le V...SAV. Echange verbal. Subitement, il assène un coup de poing à l’un des sapeurs-pompiers.
La victime et le sapeur-pompier ont été transportés vers le centre hospitalier. L’agresseur a été menotté par les forces de l’ordre. Une plainte a été déposée par notre agent agressé, à qui nous adressons tout notre soutien.
SDIS de l'Oise (Page officielle des sapeurs-pompiers de l'Oise / SDIS 60)
La victime et le sapeur-pompier ont été transportés vers le centre hospitalier. L’agresseur a été menotté par les forces de l’ordre. Une plainte a été déposée par notre agent agressé, à qui nous adressons tout notre soutien.
SDIS de l'Oise (Page officielle des sapeurs-pompiers de l'Oise / SDIS 60)
mardi 29 août 2017
Trois gendarmes agressés lors d'une intervention à Hirson
Trois militaires ont été agressés le vendredi 25 août alors qu’ils intervenaient dans le quartier de Blangy, à Hirson dans l'Aisne. C'est suite à un meurtre survenu le dimanche 20 août que trois gendarmes se sont rendus, pour une histoire de représailles, dans ce quartier d'Hirson. Mais ils ont été violemment accueillis. L'un d'entre eux a été mordu, le second s'est fait frapper au nez, le troisième souffre d'un traumatisme crânien entraînant 12 jours d'interruption totale de travail.
Le pelotons de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG), des réservistes, et la brigade de recherche et de la gendarmerie de Vervins sont venus en renfort auprès de la gendarmerie d'Hirson après cet incident.
Dans cette affaire de meurtre, la victime avait reçu 17 éclats de plomb et les deux agresseurs ont été jugés en comparution immédiate puis condamnés à deux ans de prison. Ils sont actuellement sous les barreaux.
Hauts-de-Francehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/
Le pelotons de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG), des réservistes, et la brigade de recherche et de la gendarmerie de Vervins sont venus en renfort auprès de la gendarmerie d'Hirson après cet incident.
Dans cette affaire de meurtre, la victime avait reçu 17 éclats de plomb et les deux agresseurs ont été jugés en comparution immédiate puis condamnés à deux ans de prison. Ils sont actuellement sous les barreaux.
Hauts-de-Francehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/
lundi 28 août 2017
Quand Mireille Darc rencontrait le professeur Cabrol
C'était en 1980, le célèbre professeur de chirurgie cardiaque Christian Cabrol réalisait une opération à coeur ouvert pour Mireille Darc, qui souffrait d'un souffle au cœur depuis l'enfance. Depuis, une réelle complicité est née entre eux.
Vous avez été le premier à me caresser le coeur", déclarait Mireille Darc à son ami Christian Cabrol dans un reportage réalisé par France 3 Picardie. Depuis qu'il l'a opérée du coeur, en 1980, ils ne sont plus quittés. Pourtant, à l'époque, pour le professeur, pas question de faire de privilège. "J'ai dit à mon équipe, on fait comme d'habitude, on se met pas la pression", raconte C. Cabrol dans ce même reportage (extraits ci-dessous). "J'étais très fière qu'il m'opère", confiait Mireille Darc lors du décès du professeur Cabrol en juin dernier.
Et quand le professeur est dans l'impasse, au moment de créer son Institut des malades du coeur, l'actrice met sa notoriété à son service afin que le ministre de la santé débloque des fonds. Mais la générosité de l'actrice ne s'arrête pas là. En 2005, elle se lance dans le développement de différentes opérations de charité et devient la marraine de l'association humanitaire La Chaîne de l'Espoir avant de devenir, en 2008, marraine de l'opération "+ de Vie", qui consiste à améliorer le quotidien des personnes âgées hospitalisées.
L'actrice emblématique des années 1960 et 1970 est décédée à l'âge de 79 ans dans la nuit de dimanche à lundi, à son domicile parisien, avec Alain Delon à son chevet. Celle qui fut sa compagne pendant quinze ans a connu une traversée du désert dans les années 80, après de graves ennuis de santé. Atteinte depuis l'enfance d'un souffle au coeur, elle subit deux opérations du coeur : en 1980 et en 2013.
Elle avait été hospitalisée fin 2016 après deux hémorragies cérébrales. Délaissée par le cinéma, Mireille Darc était revenue dans les années 1990 sur le devant de la scène par la télévision, renouant avec la popularité dans des rôles de femme décidée et indépendante dans plusieurs séries.
Elle avait aussi réalisé plusieurs documentaires sociétaux. Elle était mariée depuis 2002 à l'architecte Pascal Desprez. Son décès, d'abord annoncé par la famille à RTL, suscitait lundi de nombreuses réactions. "Une grande figure du cinéma français nous quitte. Mireille Darc était une actrice de talent, une femme de courage et d'engagement", a notamment tweeté la ministre de la Culture Françoise Nyssen.
Picardiehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/picardie
dimanche 27 août 2017
Saint-Pol-sur-Mer : un jeune de 18 ans trouve la mort en chutant du 3e étage
Un jeune homme de 18 ans est mort dans la nuit de samedi à dimanche après avoir chuté du troisième étage d'un immeuble
Les pompiers n'ont rien pu faire. Vers 4h30, les secours sont appelés : un jeune homme de 18 ans a chuté du troisième étage d'un immeuble situé à Saint-Pol-sur-Mer, rue de la république. "Malgré l'arrivée rapide des secours et les actions engagées, le jeune homme a été déclaré décédé", indiquent les pompiers.
Une enquête a été automatiquement ouverte pour déterminer les circonstances de ce drame.
Les pompiers n'ont rien pu faire. Vers 4h30, les secours sont appelés : un jeune homme de 18 ans a chuté du troisième étage d'un immeuble situé à Saint-Pol-sur-Mer, rue de la république. "Malgré l'arrivée rapide des secours et les actions engagées, le jeune homme a été déclaré décédé", indiquent les pompiers.
Une enquête a été automatiquement ouverte pour déterminer les circonstances de ce drame.
Tourcoing : le trafic ferroviaire interrompu après un suicide
Un suicide sur les voies a causé l'interruption samedi après-midi du trafic ferroviaire à la gare de Tourcoing.
Vers 14h30, "un train belge a percuté mortellement une personne à environ 500 m de la gare de Tourcoing", a indiqué une porte-parole de la communication régionale de la SNCF, confirmant une information de La Voix du Nord.
Un TGV Ouigo à destination de Rennes a été bloqué sur le quai et la circulation des trains régionaux entre Lille et Tourcoing a été interrompue, a-t-on appris de même source. Le trafic devrait reprendre avant 17h, selon la même source.
Vers 14h30, "un train belge a percuté mortellement une personne à environ 500 m de la gare de Tourcoing", a indiqué une porte-parole de la communication régionale de la SNCF, confirmant une information de La Voix du Nord.
Un TGV Ouigo à destination de Rennes a été bloqué sur le quai et la circulation des trains régionaux entre Lille et Tourcoing a été interrompue, a-t-on appris de même source. Le trafic devrait reprendre avant 17h, selon la même source.
Tourcoinghttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/tourcoing
samedi 26 août 2017
Foire aux fromages: 50ans que ça dure
L’événement capellois incontournable du premier week-end de septembre, s’apprête à souffler ses 50 bougies. Retour sur cinq décennies d’une histoire, forcément savoureuse.
Le temps semble n’avoir aucune prise sur la Foire aux fromages. Le 1er septembre prochain, La Capelle verra sa population (2 000 habitants) être multipliée par 15 l’espace d’un week-end. Et cela dure depuis des décennies. De ses origines à son ascension, en passant par les moments de gloire, et parfois de tristesse, voici quelques moments clés qui ont fait l’histoire de la Foire aux fromages.
1- En 68, la France s’ennuie, La Capelle aussi
Il y a 50 ans, alors que la France se remettait doucement de la fièvre de Mai 68, à La Capelle, deux hommes reprennent les mots de Pierre-Viansson Ponté dans Le Monde du 15 mars 1968 : « La France s’ennuie ». Michel Flandre, président de l’Union commerciale et Jean Prieur, photographe, estiment eux aussi que l’on s’ennuie à La Capelle, car la fête patronale n’attire plus personne.
« Un des deux a dit à l’autre : qu’est ce qu’on pourrait faire pour réveiller ce pays de merde !, se souvient Daniel Mathis, président de l’association Thiérache Promotion, et médecin à l’époque. Il a assisté à la scène. Un a proposé un marché aux fleurs ou aux vins. Mais on ne produit pas de vin. Et là est venue l’idée du fromage. »
2- Un mangeur de fromage aux Grosses têtes
Le maroilles occupe une part prépondérante dans l’histoire de la foire, grâce aussi aux fameux concours du plus gros mangeur de maroilles et de la plus grosse mangeuse de fromage blanc. Un concours qui a connu un parfum de scandale en 2014. Le gagnant du concours de mangeur de maroilles n’avait pas respecté le règlement (un ancien vainqueur doit patienter 5 ans avant de retenter sa chance) et avait dû rendre ses bouteilles de champagne.
« On avait mal orthographié le nom du vainqueur qui aurait dû patienter une année de plus avant de pouvoir s’inscrire, se rappelle Régis Fostier, président du comité d’organisation de la foire. C’est monté en épingle sur les réseaux sociaux car certaines personnes conservent les coupures de presse ! » Une affaire qui a aussi permis à Régis Fostier de connaître son heure de gloire. « Le lendemain, j’ai participé aux Grosses têtes sur RTL. Je m’attendais à être démonté, mais pas du tout. Il y avait Jean-Pierre Coffe qui a super bien défendu la foire. J’ai aussi fait Touche pas à mon poste avec Hanouna. »
D’autres animations sont venues se greffer, avec la première intronisation des confréries du maroilles en 1983, le concours des produits du terroir en 1987 ou encore la brocante qui débarque en 1999 pour enrichir un peu plus un week-end très festif.
3- Politiques et stars sur la foire
Le succès de la foire a forcément attiré les convoitises de certains hommes politiques nationaux qui ont jugé bon de venir faire un tour à La Capelle. Plusieurs secrétaires d’État se sont rendus en Thiérache pour venir honorer l’événement de leurs présences. Le premier d’entre eux, Jean Bailly, secrétaire d’état au commerce en 1971 a ouvert la voie à d’autres, notamment dans les années 1970. Renaud Dutreil en 2002 étant le dernier membre d’un gouvernement a s’être rendu sur la foire en tant que secrétaire d’État chargé des PME. Inversement, des people ont contribué, par leurs venues, à la notoriété de la foire. La célèbre cuisinière Maïté, la chanteuse Fabienne Thibeault, ou plus récemment Vincent Ferniot.
4- Sécheresse et catarrhale cauchemars de la foire
Trois mauvais souvenirs ont particulièrement marqué cette foire. Les deux premiers surviennent en 1976. La foire souffre de la grande sécheresse qui provoque l’annulation des concours bovins et l’absence de nombreux stands fromages. Une 9e édition qui se termine dans la tristesse avec le décès le lundi de l’un des fondateurs de l’événement, Jean Prieur. Régis Fostier, garde, lui, un souvenir amer de la foire d’il y a 7 ans. « C’était l’année de la fièvre catarrhale ovine, il y avait un cas à 30 km de La Capelle. J’ai pris la décision de ne pas jouer avec l’outil de travail des éleveurs et j’ai refusé de faire venir les bovins, la mort dans l’âme. » Une situation qui ne s’est que rarement produite en 50 ans…
Foire aux fromages: 50ans que ça durehttp://www.aisnenouvelle.fr/38196/article/2017-08-26/foire-aux-fromages-50ans-que-ca-dure
vendredi 25 août 2017
Vingt-cinq idées de sorties pour votre week-end en Picardie
Son et lumière Le Souffle de la terre à Ailly-sur-Noye, festival Malices et Merveilles à Beauvais, Fête des fleurs à Fort-Mahon-Plage, meeting aérien et Patrouille de France à Albert, Médiévales de Folleville, foire médiévale de Crécy-en-Ponthieu, Oh Fun Bak à Choisy-au-Roi
Julie Pietri
Pour sa fête, la commune a réuni un joli trio de chanteurs. Autour de l’égérie des années 80 Julie Piétri (Ève lève-toi) seront présents Joniece Jamison (Joue pas, duo avec François Feldman) et Thierry Pastor (Le coup de folie).
La Neuville-en-Hez (60). Place de l’Église. Dimanche 27 août à partir de 14 h 30. Gratuit.
Abba For Ever
Ce tribute d’Abba, créé en 2007, fait revivre les meilleurs titres du groupe mythique suédois aux 375 millions d’albums vendus à travers le monde, vainqueur de l’Eurovision en 1976 avec Waterloo. Quarante ans plus tard, Abba demeure un véritable phénomène musical comme le prouve toujours la comédie musicale Mama Mia ! Sur scène, dans leurs tenues kitsch, Abba For Ever interprète Gimme Gimme, Dancing Queen, Mama Mia, Super Trouper, Money, Money, Money… Le groupe se veut fidèle à l’univers des années 70, aux interprétations scéniques et au son de ses idoles qui n’ont plus chanté ensemble depuis 1982.Quend-Plage (80). Place Charles-de-Gaulle. Samedi 26 août à 21h. Gratuit.
Le Souffle de la terre
Des huttes paléolithiques à la Libération en passant par l’édification de la cathédrale d’Amiens, la signature du traité de Picquigny marquant la fin de la Guerre de Cent Ans ou encore la Grande Guerre, 20 000 ans d’histoire en terre de Picardie sont racontés dans Le Souffle de la terre. Ce son et lumière est le plus important de Picardie. Le metteur en scène Dominique Martens a modifié plusieurs tableaux, par petites touches. Surtout, il a totalement recréé la scène d’ouverture. « Elle est sur le thème du légendaire autour de l’eau, explique-t-il. Les spectateurs seront plongés dans une ambiance de mystère rappelant le loup-garou, les sorcières, les fées, les puits tournants, les feux follets, les lutins. »Ailly-sur-Noye (80). Plan d’eau. Du vendredi 25 août au samedi 23 septembre, les vendredis et samedis à 21 h 30 ; ouverture des portes à 19 h, animations sur le thème des contes et légendes jusqu’au spectacle. Tarifs de 25 à 9 € ; moins de 5 ans, gratuit. Tél. 03 22 41 06 90. www.souffledelaterre.com
Chroma
Spectacle de lumière et de musique sur la façade de la cathédrale suivi de la mise en lumière des statues.Amiens. Parvis de la cathédrale. Tous les jours jusqu’au 17 septembre ; en août à 22 h, en septembre à 21 h 45. Durée 50 mn : 20 mn du spectacle « Chroma » et 30 mn de polychromies. Gratuit.
La cathédrale infinie et Horizons imaginaires
Spectacle de lumière et de musique sur les façades de la cathédrale et du Quadrilatère qui raconte l’histoire de Beauvais à travers les siècles et celle de la tapisserie.Beauvais (60). Parvis de la cathédrale. Vendredi 25 et samedi 26 août à la nuit tombée. Durée 30 mn. Gratuit.
Cirq’Ô Champs
Festival de cirque et d’arts de la rue ; déjeuner champêtre dans la rue dimanche à 12 h 30 ; concert de l’Amiénois Toma Sidibé Bal poussière mêlant musiques et danses africaines dimanche à 18 h 30.Flers (80). Samedi 26 août à partir de 15 h et dimanche 27 à partir de 12 h 30. Gratuit.
Couleurs d’été
Son et lumière sur la façade de la cathédrale sur le thème des 4 éléments. Un parcours lumineux dans la ville haute reprend ce thème au Petit Saint-Vincent, au Petit Saint-Nicolas, à la chapelle des Templiers et à la porte des Chenizelles.Laon (02). Parvis de la Cathédrale. Vendredi 25 et samedi 26 août à 22 h 30 et 23 h 15. Gratuit.
Meeting aérien d’Albert et Patrouille de France
La Patrouille de France sera l’attraction de ce meeting aérien. Dix de ses avions présenteront leur show de voltige aérienne à 17 h. Au total, cent avions sont attendus sur le tarmac. Parmi eux l’Antonov 2, le plus grand gros biplan monomoteur au monde ; le NH90, hélicoptère militaire bi-turbine européen ; un Mirage 2000 et un F16 belge dans lesquels les visiteurs pourront monter ; l’Airbus militaire A321, des Rafales, des avions légers… L’Armée de l’air, la gendarmerie et le géant aéronautique Stelia tiendront des stands d’information.Albert (80). Aéroport. Dimanche 27 août de 10 h à 18 h 30. Entrée 10 € ; moins de 12 ans, gratuit.
Saint-Guignolet
Le corso fleuri est le temps fort de cette fête : défilé des chars des associations aumaloises, des majorettes d’Aumale, de l’harmonie municipale, du groupe AMDSP, du Music Band, du ShowBand Remynois et du groupe Doubles Croches Quevauvilliers/Salouël ; combats de catch.Aumale (76). Dimanche 27 août à 15 h 15. Gratuit.
Malices et Merveilles
Ce festival des arts du cirque et de la rue rassemblera une vingtaine de compagnies françaises et européennes dans les jardins de la Maladrerie Saint-Lazare. Pour cette septième édition, le public retrouvera Calixte de Nigremont, « le prince des aristocrates » comme il se définit, en maître de cérémonie. Il animera les festivités et présentera les artistes dans leurs numéros. Trente-cinq spectacles, inédits à Beauvais, seront présentés, la plupart adaptés à tous les publics ; des animations seront spécialement organisées pour les enfants. Il ne faudra pas rater Christophe Pavia, un coiffeur au style décoiffant qui transformera les chevelures des visiteurs en œuvres d’art.Beauvais (60). Maladrerie Saint-Lazare, 203, rue de Paris. En cas d’intempéries, les spectacles se dérouleront dans la grange. Samedi 26 août de 15 h à minuit et dimanche 27 de 14 à 22 h. Gratuit. www.culture.beauvais.fr
Tracteur pulling et foire agricole
Les tracteurs vont faire trembler les champs lors des compétitions organisées ce week-end avec d’impressionnants engins aux énormes moteurs survitaminés. Au programme de cette foire agricole : finale européenne de tracteur pulling garden avec 50 tracteurs engagés, championnat de France de tracteur pulling, show nocturne (samedi), championnat de France de Super stock et pro stock (véhicules de plus de 3,5 tonnes), courses de moiss’batt cross, exposition de matériel agricole et de tracteurs anciens, labours à l’ancienne, show de moto-cross, baptêmes d’hélicoptère et de tracteur...Bailleul-le-Soc (60). Samedi 26 août à partir de 14 h et dimanche 27 à partir de 10 h. 10 € ; moins de 10 ans, gratuit.
Oh Fun Bak
Festival de musique cuivrée et d’arts de la rue avec La BAK, La Fanfare Toto, Nymphonik Orchestra, The BrassTa, Les Skroks (samedi), Les Doigts qui collent (samedi), Spirit of News Orleans (samedi) ; lâcher de 200 lanternes au son de la BAK (samedi à 23 h) ; Lili One Balloons Perf (sculpture de ballons) confectionnera des chapeaux fous sur mesure (dimanche) ; atelier de lutherie animé par Laurent Coffinières et Luc Gallois, artisans luthiers (dimanche) ; guinguette.Choisy-au-Bac (60). Dans les rues et au parc de la Brunerie. Samedi 26 août à partir de 15 h et dimanche 27 à partir de 14 h. Gratuit. www.offunbak.labak.fr
Foire médiévale
La fête médiévale qui était prévue en août 2016 pour le 670e anniversaire de la bataille de Crécy (1346) avait dû être annulée. Mais les Crécéens ont relevé le gantelet pour proposer cette année une animation qui soit, au moins, à la même mesure. Concert, troupes médiévistes françaises, anglaises, belges, galloise et tchèque, campements, combats, artisans, joutes, marché médiéval et foire commerciale sont au programme.Crécy-en-Ponthieu (80). Vendredi 25 août : concert à 20 h à l’église (5 €). Samedi 26 : festivités, banquet à 20 h. Dimanche 27 : foire commerciale dès 7 h, messe à 9 h 30, cortège puis cérémonie à 10 h 30, animations, marché médiéval, joutes, etc. de 10 à 18 h. Gratuit.
Fête des cochons
Fête médiévale. Village médiéval, artisans, commerçants, cracheurs de feu, jongleurs, troubadours et saltimbanques ; concours du cri du cochon (dimanche à 16 h).Crépy-en-Valois (60). Parc Sainte-Agathe. Samedi 26 août de 14 à 23 h et dimanche 27 de 10 h 30 à 20 h. Gratuit.
Centenaire de la Grande Guerre
Présentation et reconstitution historique de bivouacs militaires des différentes nations combattantes de la Première Guerre mondiale, défilés et revues de plus de 100 reconstitueurs en tenues d’époque françaises, allemandes, anglaises, américaines et canadiennes, présentation d’un minenwerfer dans son abri, d’une roulante allemande de 1914, d’un canon de 75 et de véhicules militaires d’époque, tracteur d’artillerie, ambulance, char FT 17, exposition et cérémonies patriotiques.Étreillers (02). Place de Verdun et autour de l’église. Samedi 26 août de 14 à 19 h et dimanche 27 de 9 h 30 à 17 h. Gratuit.
Les Vieilles Soupapes
Rassemblement de voitures anciennes de l’association Les Vieilles Soupapes du Val de Bresle ; cabriolets et découvrables seront mis à l’honneur.Eu (76). Cour d’honneur du Château, place Isabelle d’Orléans et Bragance. Samedi 26 août de 8 à 18 h. Gratuit.
Les Médiévales de Folleville
Le temps d’un week-end, le château de Folleville plonge au cœur du Moyen-Âge. Vingt-six troupes, reconstitueurs et artistes de rue, ainsi que des artisans et marchands animeront le site. Au programme : reconstitutions de campements, marché médiéval, fauconnerie, joutes équestres, combats, démonstrations de matériel de guerre, travail des artisans sous les yeux du public, musiques et danses médiévales, bal médiéval (samedi soir).Folleville (80). Cour du château. Samedi 26 août de 10 à 22 h et dimanche 27 de 10 à 19 h. Tarifs : 8 et 4€. www.folleville-chateau-medieval.fr
Fête des fleurs
Cette manifestation haute en couleur se déclinera sur le thème des Pays du Monde ce week-end. Une trentaine de chars décorés défileront dans les rues de la station balnéaire. Un premier défilé rassemblera des chars illuminés accompagnés de groupes de musique et d’un char DJ, samedi vers 21 h. Il partira de la mairie pour arriver sur le front de mer où un feu d’artifice sera tiré de la plage suivi d’une soirée musicale. Le grand corso fleuri s’élancera dimanche à 14 h de la mairie en direction du vieux Fort-Mahon. Les chars et les formations musicales descendront ensuite l’avenue de la Plage avant de retourner à la mairie où sera organisée une distribution de fleurs.Fort-Mahon-Plage (80). Samedi 26 et dimanche 27 août. Gratuit.
Fête des hardines
Contes en picard, producteurs locaux, fabricant de jus de pomme à l’ancienne, marchand de miel, dessinateur à l’encre végétal, promenades en barque et à dos d’âne, jeux picards, tir à l’arc et à la carabine…Ham (80). Jardins des hardines. Dimanche 27 août de 10 à 18h. Gratuit.
Rando Auto Retro
Les amateurs de vieilles mécaniques verront de beaux modèles sur les routes lors de la 4e Rando Auto Retro de la Haute Somme. Environ 80 voitures, de 1955 à 1990, sont attendues : des citadines (2CV, DS, R16, Juva 4 et Ondine), des cabriolets 304, MG ou Mercedes et des sportives Alpine, Lancia, BMW ou Porsche… Première étape Hem-Monacu – Albert avec exposition des véhicules au garage François Citroen à partir de 12 h ; deuxième étape, départ de la place Leturcq à partir de 14 h jusqu’à Péronne avec arrivée devant l’Historial à partir de 16 h 30 ; troisième étape, départ de l’Intermarché jusqu’à Hem-Monacu.Hem-Monacu (80). Samedi 26 août. Départ à partir de 9 h 30 et arrivée à partir de 18 h 30. Gratuit.
Meeting VW
Rassemblement de véhicules anciens de la marque Volkswagen (combi, coccinnelle, buggy…) ; Top 5 ; stands de professionnels ; concert The Buddy’s ; animations pour les enfants.Marquéglise (60). Route de Vandélicourt. Dimanche 27 août à partir de 9h. Gratuit.
Journée médiévale
Animée par La Guilde d’Emeraude de Compiègne et La Flèche au vent d’Angy. Au programme : reconstitution d’un camp médiéval, artisanat, danses médiévales, tir à l’arc, combats d’escrime, tirs militaires aux ordres (à 14 h 30), troll ball et spectacle équestre du ranch PF de Sacy-le-Grand (à 16 h) ; dédicace de Martial Grise et Maryse Pepin, auteurs québécois des best-sellers littéraires de la série Seyrawyn, univers médiéval fantastique.Mogneville (60). Parc Chèdeville, rue de la Brèche. Dimanche 27 août de 10 à 19h. 10 et 5€. www.ccl-valledoree.fr
Exposition – vente de Playmobil
Sur 250 m² d’exposition sont rassemblées plus de 8 000 figurines.Montdidier (80). Gymnase handisport, rue Pasteur. Samedi 26 et dimanche 27 août de 10 à 18 h. 3 € ; moins de 3 ans, gratuit.
Fête des AMAP des Hauts-de-France
Découverte des Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne (un agriculteur s’engage à livrer sa production à un groupe de consommateurs qui s’engage à l’acheter sur la saison) ; marché paysan (produits du terroir et bio) ; concerts avec Los Fralibos et Touf’Folks, théâtre avec la Cie du Polygone, jeux, exposition d’agro-écologie paysanne ; visite de la ferme ; ateliers semences paysannes, se réapproprier son outil de travail, agriculture paysanne.Ramicourt (02). Ferme du Prélet. Samedi 26 août de 10 h 30 à 22 h. Gratuit. www.amap-en-fete
Concours départemental de labours
Organisé par les collectionneurs de vieux tracteurs avec la collaboration des jeunes agriculteurs de l’Aisne et du Lycée Robert Schuman de Chauny. Défilé de vieux tracteurs ; exposition de tracteurs, motos et autos ; marché artisanal et gourmand ; battage à l’ancienne et démonstration de labours.Ugny-le-Gay (02). Dimanche 27 août à partir de 9h.
Vingt-cinq idées de sorties pour votre week-end en Picardiehttp://www.courrier-picard.fr/51808/article/2017-08-24/vingt-cinq-idees-de-sorties-pour-votre-week-end-en-picardie-carte
Villeneuve d'Ascq : un homme armé interpellé par la police et le Raid
Aujourd'hui aux environs de 12h00, le commissariat central de Lille est contacté pour une intervention à Villeneuve d'Ascq. Un chauffeur de bus Transpole vient de repérer un homme qui porte une arme automatique, en fuite en direction du centre commercial V2.
"Nos effectifs se sont déplacés, ainsi que le Raid, explique-t-on au Comissariat. Entre temps, on a rerçu un nouvel appel nous indiquant que l'homme avait fait usage de son arme, mais en direction du sol, au niveau de l'agence de la Société Générale."
L'homme est ensuite repéré sur le parking du magasin Boulanger par les services de sécurité. Toujours poursuivi, il parvient à se retrancher dans un appartemment - dont on ignore s'il est ou non le propriétaire. Un périmètre de sécurité est alors tracé autour de l'habitation.
L'homm est interpellé alors qu'il tente de fuir par l'arrière, et l'arme identifiée comme un pistolet automatique chargé à la grenaille, des granules de plomb. Il est actuellement en garde-à-vue.
"Nos effectifs se sont déplacés, ainsi que le Raid, explique-t-on au Comissariat. Entre temps, on a rerçu un nouvel appel nous indiquant que l'homme avait fait usage de son arme, mais en direction du sol, au niveau de l'agence de la Société Générale."
L'homme est ensuite repéré sur le parking du magasin Boulanger par les services de sécurité. Toujours poursuivi, il parvient à se retrancher dans un appartemment - dont on ignore s'il est ou non le propriétaire. Un périmètre de sécurité est alors tracé autour de l'habitation.
L'homm est interpellé alors qu'il tente de fuir par l'arrière, et l'arme identifiée comme un pistolet automatique chargé à la grenaille, des granules de plomb. Il est actuellement en garde-à-vue.
Accident Eppes
Info Aisne Info
Eppes, sur la D181, rue de Sissonne.
Les secours sont engagés pour un accident de la route, impliquant deux véhicules
Eppes, sur la D181, rue de Sissonne.
Les secours sont engagés pour un accident de la route, impliquant deux véhicules
jeudi 24 août 2017
GIZY : Huit pieds de cannabis et deux fusils saisis
Publication Aisne Info
C’est à la suite d’une enquête rapide que les militaires de la brigade de Gendarmerie de Sissonne ont interpellé un homme de 49 ans demeurant à Gizy pour détention de produits stupéfiants ce mercredi 23 Août.
Huit pieds de cannabis, du matériel de culture ainsi que deux fusils non déclarés et leurs munitions ont été saisis lors des perquisitions.
Après sa garde à vue et son audition, le mis en cause est convoqué au mois de novembre prochain devant le Tribunal de Grande Instance de Laon.
Photo Gendarmerie de l’Aisne
C’est à la suite d’une enquête rapide que les militaires de la brigade de Gendarmerie de Sissonne ont interpellé un homme de 49 ans demeurant à Gizy pour détention de produits stupéfiants ce mercredi 23 Août.
Huit pieds de cannabis, du matériel de culture ainsi que deux fusils non déclarés et leurs munitions ont été saisis lors des perquisitions.
Après sa garde à vue et son audition, le mis en cause est convoqué au mois de novembre prochain devant le Tribunal de Grande Instance de Laon.
Photo Gendarmerie de l’Aisne
Une pièce de théâtre qui évoque le meurtre d'Élodie Kulik
Le metteur en scène de la compagnie saint-quentinoise "Viromandui" Fabien Richard a créé une pièce de théâtre, "Meurtres à domicile", qui a pour point de départ l'affaire Élodie Kulik. Une pièce validée par le père de la défunte.
Tout le monde se souvient du terrible meurtre de la jeune Elodie Kulik, dont le corps en partie calciné a été retrouvé un 12 janvier 2002, dans un champ près de Tertry, dans la Somme. C'était il y a 15 ans mais ce fait divers reste gravé dans les mémoires. D'ici quelques mois, le metteur en scène Fabien Richard offrira sa toute première représentation de "Meurtres à domicile", une pièce qui a pour point de départ cette affaire.
Élodie Kulik comme fil conducteur
"Au départ, on n'avait pas vraiment de fil conducteur, nous voulions explorer les meurtres historiques dans la région de 1866 à 1965", relate Fabien Richard. À la même époque, le metteur en scène rédige un texte en hommage à Elodie Kulik. Il le présente à son père via l'intermédiaire de sa meilleure amie. Ce dernier l'approuve. "Des monstres, il y en a eu hier et il y en a aujourd'hui", réalise M. Richard, qui décide de faire de cette affaire son fil conducteur. "Toutes les histoires racontent en quelque sorte celle d'Elodie".
Toutes les histoires racontent en quelque sorte celle d'Elodie
La pièce raconte l'histoire d'un policier qui, en 2002, découvre ce meurtre à la télévision. Il réalise qu'il sera chargé de l'enquête, ce qui le rend fou. Et se produit un phénomène de dédoublement de la personnalité : "le flic devient également un coupeur de tête du XIXe siècle", raconte le metteur en scène.
Une manière de parcourir les siècles et de mener une réelle réflexion sur la place de la justice dans la société. La pièce mêle rêve et réalité. Le policier est-il fou ? Alcoolique ? Le public ne le saura jamais. "Avec cette affaire, il ouvre une boîte de pandore qui va le faire retomber dans le passé", décrit Fabien Richard.
Un succès inexpliqué ?
"S'il n'y avait pas l'accord du papa, il n'y avait pas d'Élodie dans la pièce", se souvient M. Richard. "Il était important qu'il soit d'accord à 100%". Pourtant, de nombreuses personnes, ayant écho de la pièce, ont accusé le metteur en scène de tirer avantage du drame. "Nous n'avons pas de positionnement de profit", précise-t-il. C'est pour cette raison, entre autres, qu'il a tenu à ce que le tarif soit unique et peu élevé (5€). "Je veux aussi que la pièce soit accessible. Et montrer aux gens que ce qu'ils voient à la télé, c'est de la poudre aux yeux".
Depuis l'annonce de cette pièce, les villes se bousculent pour avoir leur représentation. "Ils sont quinze à m'avoir appelé, ils n'ont pourtant pas vu la pièce !", s'étonne le metteur en scène, qui a toutefois son idée à propos d'un tel succès. "Les gens veulent connaître la vérité. On veut comprendre, savoir qui est le méchant".
Sur Facebook, une page en hommage à Élodie Kulik regroupe plus de 5000 personnes. "Les gens ont du ressentiment, ils sont en quête de la vérité, en plein questionnement sur cette histoire", interprète-t-il.
La pièce va être éditée en livre. La première aura lieu à Péronne le 29 décembre.
► Renseignements sur la page Facebook "Meurtres à domicile" ou par téléphone au 06 67 58 63 49.
PicardiePicardiehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/picardie
mercredi 23 août 2017
Masny : une femme s'immole par le feu dans un Intermarché
"Ça a été très vite, ça a duré peut-être 20 secondes", témoigne l'agent de sécurité. Aujourd'hui, aux environs de midi, une femme de 41 a tenté de s'immoler par le feu à l'intérieur du magasin Intermarché de Masny.
La victime s'est saisie d'un bidon d'alcool à brûler de cinq litres et en a bu environ un litre, selon les témoins, avant de se mettre le feu avec un briquet.
"Le liquide est tombé sur son tee-shirt, qui était en nylon, alors ça s'est enflammé assez vite, explique le vigile. Mais dès qu'elle a vu qu'il y avait de vraies flammes, elle a fait en sorte d'éteindre le feu elle-même."
Lui et son collègue ont rapidement emmené la victime au calme, dans une salle à l'écart des autres clients. "On lui a fait rendre le liquide, on s'est occupé d'elle. Elle disait qu'elle voulait mourir. Une de mes collègues, qui la connaît un peu mieux, est venue l'apaiser, elle a parlé de ses enfants..."
Prévenus, les pompiers sont arrivés une dizaine de minutes plus tard et ont pris le relai. La victime, qui présente des brûlures au premier et au second degré sur le torse, le visage et les mains, a été emmenée au centre hospitalier Douai-Dechy.
Une cellule d'écoute a été proposée aux employés présents durant le drame, mais ceux-ci ont, selon leur collègue de la sécurité, décliné l'offre.
La victime s'est saisie d'un bidon d'alcool à brûler de cinq litres et en a bu environ un litre, selon les témoins, avant de se mettre le feu avec un briquet.
"Le liquide est tombé sur son tee-shirt, qui était en nylon, alors ça s'est enflammé assez vite, explique le vigile. Mais dès qu'elle a vu qu'il y avait de vraies flammes, elle a fait en sorte d'éteindre le feu elle-même."
Tentative de suicide
Lui et son collègue ont rapidement emmené la victime au calme, dans une salle à l'écart des autres clients. "On lui a fait rendre le liquide, on s'est occupé d'elle. Elle disait qu'elle voulait mourir. Une de mes collègues, qui la connaît un peu mieux, est venue l'apaiser, elle a parlé de ses enfants..."
Prévenus, les pompiers sont arrivés une dizaine de minutes plus tard et ont pris le relai. La victime, qui présente des brûlures au premier et au second degré sur le torse, le visage et les mains, a été emmenée au centre hospitalier Douai-Dechy.
Une cellule d'écoute a été proposée aux employés présents durant le drame, mais ceux-ci ont, selon leur collègue de la sécurité, décliné l'offre.
Le souffle de la Terre d'Ailly-sur-Noye
En 2017, Le souffle de la terre, spectacle nocturne d’Ailly sur Noye, nous fera voyager dans l’imaginaire, le légendaire, le fantastique…
De l'ère glaciaire à l'époque contemporaine, 20 000 ans d'histoire se racontent dans une scénographie grandiose. Une épopée captivante où les gestes simples de la vie ordinaire côtoient les hauts faits guerriers. Le Souffle de la Terre parle du destin d'un peuple.régulièrement envahi, oppressé, meurtri mais qui a su inlassablement résister, reconstruire, moissonner et dresser plus haut les flèches de ses cathédrales.
Partagez l'esprit de la Picardie
Depuis 1986, plus de 800 bénévoles d'Ailly-sur-Noye et des environs proposent le Souffle de la Terre : un spectacle né de l'imagination de son créateur et metteur en scène Dominique Martens, mis en musique par le compositeur québécois Dominic Laprise. Le temps d'une soirée, dans un écrin de verdure sur les bords du plan d'eau de la commune, ils donnent vie à cette grande fresque historique : un hymne à la Picardie et à ses habitants.20 000 ans d'histoire se racontent dans une scénographie grandiose. Le Souffle de la Terre parle du destin d'un peuple régulièrement envahi, oppressé, meurtri mais qui a su inlassablement résister, reconstruire, moissonner et dresser plus haut les flèches de ses cathédrales.
L'émotion est toujours présente. Costumes, décors, effets spéciaux, feux d'artifice, symphonie d'eau et de lumière : les scènes sont ponctuées de surprises toutes plus spectaculaires les unes que les autres.
L'émotion est toujours présente. Costumes, décors, effets spéciaux, feux d'artifice, symphonie d'eau et de lumière : les scènes sont ponctuées de surprises toutes plus spectaculaires les unes que les autres.
750 000 spectateurs
Une émotion chaque fois renouvelée ; Le Souffle de la Terre est une formidable aventure humaine qui réunit 3 générations d'acteurs.
C'est devenu une tradition : le spectacle commencera avant le spectacle ! Dès 19h, chaque soir, le spectateur pourra entrer sur le site pour se plonger dans une ambiance festive. Il sera interpellé par des conteurs, des acteurs qui le surprendront, le feront rêver, rire ou s'émerveiller.
C'est devenu une tradition : le spectacle commencera avant le spectacle ! Dès 19h, chaque soir, le spectateur pourra entrer sur le site pour se plonger dans une ambiance festive. Il sera interpellé par des conteurs, des acteurs qui le surprendront, le feront rêver, rire ou s'émerveiller.
Il pourra également se restaurer sous un chapiteau de plus de 400 couverts (sur réservation) ou, dans une ambiance conviviale et musicale, à la restauration rapide.
Puis viendra l'heure de gagner le gradin de 3000 places. Là, le visiteur se laissera tout d'abord aborder, en préambule du spectacle, par des acteurs qui lui feront découvrir avec humour, quelques contes et « diries » de Picardie.
Enfin, le spectacle commencera, grandiose, magique, émouvant, avec ses 3500 personnages costumés et sa nouvelle grande scène d'ouverture, fantastique, étonnante, surprenante, qui évoquera une légende liée à l'eau. Nouveaux jeux d'eau, nouveaux costumes, nouvelle musique, nouveau texte, nouvelle chorégraphie... Un moment étonnant, hors du temps, et très spectaculaire.
Ainsi, le Souffle de la Terre, continuera-t-il de surprendre par sa démesure, par son originalité, son dynamisme, et surtout par l'émotion qu'il dégage.
Nouveau défi
Six minutes et dix secondes de féerie très rythmée, entre contes et légendes picards. Voilà le nouveau défi qu'a lancé le metteur en scène du Souffle de la terre, Dominique Martens, aux équipes de bénévoles. « Je remplace la scène de la Peur, qui ouvrait le Souffle depuis des années, par une grande scène sur le légendaire autour de l'eau. Les spectateurs seront plongés dans une ambiance de mystère rappelant le loup-garou, les sorcières inquiétantes, les fées virevoltantes, les puits tournants, les feux follets, les lutins », dévoile le chef d'orchestre de ce spectacle vivant.
Tout à été composé au cours de l'année : la musique, le texte, les costumes (plus d'une soixantaine à réaliser d'ici l'été), les chorégraphies, les jeux pyrotechniques, les lumières, les jets d'eau. Car Dominique Martens veut emmener le public dans un tourbillon « original, fantastique, joyeux et effrayant » et ne lui laisser aucune seconde de répit visuel pendant six minutes.
Du grand spectacle, qui commencera dès l'arrivée sur le site des visiteurs. L'avant-spectacle annoncera le thème, avec là encore, des saynètes jouées par quelques personnages en costumes. Saynètes qu'est en train d'écrire le metteur en scène, à partir des légendes picardes. « Il y a beaucoup de matière dans les diries (histoires humoristiques, en picard). On ne manque pas d'imagination ».
Des scènes cultes, indéboulonnables
C'est pourquoi Dominique Martens a choisi de ne pas se focaliser sur une seule légende, mais bien sur l'imaginaire picard dans son ensemble, pour en prendre tous les
personnages et tous les ressorts.
Quant aux autres tableaux qui constituent le spectacle, certains seront modifiés plus finement, comme la scène Louis XVI, où le carrousel des chevaux sera enrichi, ou encore la scène du traité de Picquigny qui verra cette année un château apparaître sur l'île. « Quand on a commencé il y a 32 ans, nous étions 280. Aujourd'hui, nous sommes 850 », savoure le metteur en scène, qui estime ne pas pouvoir toucher à des scènes « cultes » du Souffle de la terre. « Certaines sont là depuis le début. On les a remaniées forcément, mais on ne peut pas retirer la scène de l'exode par exemple. Comme on ne peut pas ne pas garder celle sur la bataille de Crécy ».
Car l'histoire de la Picardie est parfois, sombre, lourde. Mais cette année, quelques « diries » et bonnes fées picardes viendront l'alléger.
La billetterie en ligne opérationnelle
Elle est au point depuis dimanche. Cette année, l'association des Spectacles d'Ailly-sur-Noye a misé sur une billetterie électronique, accessible depuis le site internet du Souffle de la terre. Jusqu'alors, seule la réservation en ligne était possible, mais l'association devait tout de même éditer les billets pour les visiteurs. Aujourd'hui, le spectateur gère tout, tout seul. Depuis sa réservation, jusqu'au choix de la date. Il peut également réserver son repas sur site. Et imprimer chez lui son billet ou le garder sur son smartphone, qu'il passera dans une machine adéquate installée aux abords du site du spectacle d'ici cet été.
Le souffle de la terre les vendredis et samedis à 21h30 du 25 août au 23 septembre à Aily-sur-Noye
Arrivée conseillée à 21h00 au plus tard
Parkings gratuits à proximité - Animation dès 19h00 - Possibilité de restauration sur place
Placement numéroté au niveau du gradin et du rang (pas de numéros de siège).
Parkings gratuits à proximité - Animation dès 19h00 - Possibilité de restauration sur place
Placement numéroté au niveau du gradin et du rang (pas de numéros de siège).
Renseignements : http://www.souffledelaterre.com/
- Contactez-nous
- 03 22 41 06 90
- contact@souffledelaterre.com
lire sur le blog vuduchateau.com merci Laurence
mardi 22 août 2017
INFO / ROUTE Accident Nouvion-et-Catillon
Info N'Radio
La circulation se fait sur une seule voie sur l'A26 à hauteur de Nouvion-et-Catillon.
En cause, un accident impliquant un véhicule et un poids lourd.
2 personnes légèrement blessées ont été transportées à l'hôpital.
Une circulation normale sera rétablie une fois la chaussée dégagée....
#A26 #accident
La circulation se fait sur une seule voie sur l'A26 à hauteur de Nouvion-et-Catillon.
En cause, un accident impliquant un véhicule et un poids lourd.
2 personnes légèrement blessées ont été transportées à l'hôpital.
Une circulation normale sera rétablie une fois la chaussée dégagée....
#A26 #accident
Maubeuge : un homme meurt, noyé dans la Sambre
Hier, aux environs de 15h, les pompiers du Nord ont été appelés à Maubeuge : un homme d'une cinquantaine d'année vient de tomber dans la Sambre, au niveau du boulevard Charles de Gaulle.
"On a vu un homme se pencher sur la barrière. J’ai tourné la tête peut-être une seconde, il n’était plus là." raconte une témoin, citée par la Voix du Nord.
Alertés, les sapeurs-pompiers dépêchent dix hommes sur place, et sont accompagnés par une ambulance et une unité nautique de la gendarmerie.
La victime, déjà en arrêt cardiaque quand elle a été sortie des eaux, est décédée malgré une longue tentative de massage cardiaque. Les pompiers ont quitté les lieux peu après 16heures, les pompes funèbres se sont présentées peu après.
On ignore encore s'il s'agit d'un suicide ou, entre autres hypothèses, d'un malaise. Le commissariat de Maubeuge a pris en charge l'enquête.
Maubeugehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/maubeuge
"On a vu un homme se pencher sur la barrière. J’ai tourné la tête peut-être une seconde, il n’était plus là." raconte une témoin, citée par la Voix du Nord.
Alertés, les sapeurs-pompiers dépêchent dix hommes sur place, et sont accompagnés par une ambulance et une unité nautique de la gendarmerie.
La victime, déjà en arrêt cardiaque quand elle a été sortie des eaux, est décédée malgré une longue tentative de massage cardiaque. Les pompiers ont quitté les lieux peu après 16heures, les pompes funèbres se sont présentées peu après.
On ignore encore s'il s'agit d'un suicide ou, entre autres hypothèses, d'un malaise. Le commissariat de Maubeuge a pris en charge l'enquête.
Maubeugehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/maubeuge
lundi 21 août 2017
Attentat en Catalogne : une Picarde parmi les blessés
Jeudi 17 août, en fin d'après-midi un attentat à la voiture bélier fait 13 morts et une cinquantaine de blessés sur les Ramblas de Barcelone. Parmi les victimes, une trentaine de Français dont Mélanie, une Picarde de 29 ans.
La jeune femme se promenait avec son conjoint et sa fille lorsqu'elle fut percutée par la camionnette du terroriste. Gravement blessée, elle serait aujourd'hui plongée dans un coma artificiel. Son compagnon, Guillaume, blessé lui aussi aurait été hospitalisé à Barcelone. Leur petite-fille, elle, serait indemne.
Une cagnotte en ligne a été créée pour Kevin, le frère de Mélanie. L'argent récolté, lui permettrait de se rendre au chevet de sa sœur à Barcelone.
Grâce à la générosité de plusieurs donateurs, la cagnotte atteint désormais les 3 000 euros.
La jeune femme se promenait avec son conjoint et sa fille lorsqu'elle fut percutée par la camionnette du terroriste. Gravement blessée, elle serait aujourd'hui plongée dans un coma artificiel. Son compagnon, Guillaume, blessé lui aussi aurait été hospitalisé à Barcelone. Leur petite-fille, elle, serait indemne.
Une cagnotte en ligne a été créée pour Kevin, le frère de Mélanie. L'argent récolté, lui permettrait de se rendre au chevet de sa sœur à Barcelone.
Grâce à la générosité de plusieurs donateurs, la cagnotte atteint désormais les 3 000 euros.
Hauts-de-Francehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/
dimanche 20 août 2017
Contrats aidés, entre inquiétudes et désarroi
Les contrats aidés ont une double utilité : fournir un emploi permettant l’insertion ou réinsertion professionnelle de personnes en difficulté et pousser à l’embauche du côté employeur. Ces contrats semblent promis à un très court avenir, provoquant une levée de boucliers.
Jugés inefficaces et trop coûteux pour la nation par la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, et ne débouchant pas sur des emplois stables selon le Premier ministre, Édouard Philippe, les contrats aidés semblent voués à disparaître. Au niveau local, les élus ne voient pas les choses du même œil.
À Saint-Quentin, Frédérique Macarez, maire, se dit « choquée ». « Je ne comprends ni la décision, ni la méthode d’application. » La mairie emploie 13 personnes à l’aide de ces contrats financés en partie par l’État.« Les dotations globales de fonctionnement diminuent et les communes se serrent la ceinture. On attend de voir comment les choses évoluent, mais il est hors de question de compenser cette perte par une augmentation d’impôt. Mais nous n’avons pas les moyens de proposer CDD ou CDI. » Ces personnes seront donc sans emploi. « Je ne comprends pas où sont les économies. Cela augmentera le nombre de bénéficiaires du RSA ou des allocations-chômage », explique l’édile.
Mais à l’UCPE (Un château pour l’emploi), le président Jean-Serge Simon ne nie pas quelques inquiétudes. « On est dans l’attente. Nous n’avons pas plus d’information sur ce qui se prépare, qui sera réellement concerné. Pour l’instant, nous ne sommes pas concernés », explique-t-il, prévoyant déjà des retards au démarrage sur certains chantiers. Il précise que l’association emploie 160 personnes en chantier d’insertion dans l’Aisne et l’Oise. « Ce sont des problèmes qui vont plus loin [que le domaine économique] avec un aspect social. Il s’agit de personnes qui reprennent un rythme [de vie dite active]. Elles sont souvent sans permis, avec peu de possibilité de déplacement. La faute à de jeunes politiques qui veulent tout manger », conclut-il.
Les différents contrats aidés
Les CUI (contrat unique d’insertion) concernent les personnes sans emploi, sans limite d’âge.
Le CUI-CAE (contrat d’accompagnement à l’emploi) vise le secteur non marchand (collectivités territoriales, associations, organismes publics, etc.). L’aide mensuelle versée est fixée au niveau régional par des arrêtés des préfets de région dans la limite de 80 % du SMIC horaire brut (pour les Hauts-de-France) pour un contrat à temps plein ou partiel (durée minimum de 20 heures/semaine sauf difficultés particulières d’insertion de la personne embauchée).
Le CUI-CIE (contrat initiative emploi) s’applique au secteur marchand. L’aide mensuelle versée est fixée dans les mêmes conditions que le CAE, dans la limite de 36 % du SMIC horaire brut et dans une limite hebdomadaire horaire, selon la situation du bénéficiaire et de l’employeur.
À temps plein ou partiel (supérieur à 20 heures/semaine sauf difficultés particulières).
Le contrat starter est une déclinaison du CUI-CIE, réservée au moins de 30 ans. L’aide mensuelle versée est fixée au niveau national et traduite au niveau régional par un arrêté préfets de région dans la limite de 45 % du SMIC horaire brut et dans une limite hebdomadaire horaire dans les Hauts-de-France.
Le contrat d’avenir concerne les jeunes de 16 à 25 ans (30 ans si handicap) non diplômés ou titulaire d’un BEP-CAP, sans emploi, avec une priorité sur les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV), les zones de revitalisation rurale (ZRR). D’une durée allant de 12 à 36 mois. Dans le secteur non marchand, le contrat peut être en CDD ou CDI. L’aide de l’État peut atteindre 75 % du SMIC dans le secteur non marchand et 35 % dans le secteur marchand, au niveau national.
Contrats aidés, entre inquiétudes et désarroihttp://www.aisnenouvelle.fr/37054/article/2017-08-18/contrats-aides-entre-inquietudes-et-desarroi
Jugés inefficaces et trop coûteux pour la nation par la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, et ne débouchant pas sur des emplois stables selon le Premier ministre, Édouard Philippe, les contrats aidés semblent voués à disparaître. Au niveau local, les élus ne voient pas les choses du même œil.
Incompréhension de la part des élus
Au sein de l’agglomération Chauny-Tergnier-La Fère, le président Bernard Bronchain souhaite les conserver. « Nous avons 11 personnes en contrat aidé actuellement. Normalement, les contrats en cours iront à terme. Mais deux d’entre eux se terminent en septembre et seront directement impactés par cette décision », précise celui qui espère pouvoir transformer ces contrats uniques d’insertion (CUI) en CDD, les CDI n’étant pas possibles pour le moment. « L’État baisse ses dotations estimant qu’il y a trop de personnel dans les communes. Quelles sont les solutions des maires ? Diminuer les services ? Augmenter les impôts ? » questionne-t-il.À Saint-Quentin, Frédérique Macarez, maire, se dit « choquée ». « Je ne comprends ni la décision, ni la méthode d’application. » La mairie emploie 13 personnes à l’aide de ces contrats financés en partie par l’État.« Les dotations globales de fonctionnement diminuent et les communes se serrent la ceinture. On attend de voir comment les choses évoluent, mais il est hors de question de compenser cette perte par une augmentation d’impôt. Mais nous n’avons pas les moyens de proposer CDD ou CDI. » Ces personnes seront donc sans emploi. « Je ne comprends pas où sont les économies. Cela augmentera le nombre de bénéficiaires du RSA ou des allocations-chômage », explique l’édile.
Les chantiers d’insertion pas concernés pour l’instant
En Thiérache, la commune du Nouvion, bien que de moindre taille, connaît les mêmes problèmes que la cité des Pastels. « Grâce au contrat d’avenir, nous avons pu former 6 à 7 jeunes que nous avons ensuite titularisés pour anticiper des départs en retraite », explique Samuel Lefèvre, directeur général des services. Cette année, 5 contrats CUI-CAE ont été reconduits. « Cela nous permet aussi d’embaucher des personnes sur une durée limitée et d’observer leur engagement professionnel ainsi que dans les formations suivies. » Pour lui, l’utilité et l’efficacité de ces conventions en fin de vie ne sont plus à prouver. « Si on les supprime sans solution de remplacement, cela va nous poser problème, c’est sûr. Mais en tant que collectivité, nous trouverons une solution. C’est surtout pour les bénéficiaires desdits contrats que cela m’embête. Ils se retrouveront à la case départ. Sans emploi… » La ville embauche au total 35 personnes en contrat aidé, 15 en CUI et 20 en chantier d’insertion « qui ne sont pour l’instant pas concernés ».Mais à l’UCPE (Un château pour l’emploi), le président Jean-Serge Simon ne nie pas quelques inquiétudes. « On est dans l’attente. Nous n’avons pas plus d’information sur ce qui se prépare, qui sera réellement concerné. Pour l’instant, nous ne sommes pas concernés », explique-t-il, prévoyant déjà des retards au démarrage sur certains chantiers. Il précise que l’association emploie 160 personnes en chantier d’insertion dans l’Aisne et l’Oise. « Ce sont des problèmes qui vont plus loin [que le domaine économique] avec un aspect social. Il s’agit de personnes qui reprennent un rythme [de vie dite active]. Elles sont souvent sans permis, avec peu de possibilité de déplacement. La faute à de jeunes politiques qui veulent tout manger », conclut-il.
Les différents contrats aidés
Les CUI (contrat unique d’insertion) concernent les personnes sans emploi, sans limite d’âge.
Le CUI-CAE (contrat d’accompagnement à l’emploi) vise le secteur non marchand (collectivités territoriales, associations, organismes publics, etc.). L’aide mensuelle versée est fixée au niveau régional par des arrêtés des préfets de région dans la limite de 80 % du SMIC horaire brut (pour les Hauts-de-France) pour un contrat à temps plein ou partiel (durée minimum de 20 heures/semaine sauf difficultés particulières d’insertion de la personne embauchée).
Le CUI-CIE (contrat initiative emploi) s’applique au secteur marchand. L’aide mensuelle versée est fixée dans les mêmes conditions que le CAE, dans la limite de 36 % du SMIC horaire brut et dans une limite hebdomadaire horaire, selon la situation du bénéficiaire et de l’employeur.
À temps plein ou partiel (supérieur à 20 heures/semaine sauf difficultés particulières).
Le contrat starter est une déclinaison du CUI-CIE, réservée au moins de 30 ans. L’aide mensuelle versée est fixée au niveau national et traduite au niveau régional par un arrêté préfets de région dans la limite de 45 % du SMIC horaire brut et dans une limite hebdomadaire horaire dans les Hauts-de-France.
Le contrat d’avenir concerne les jeunes de 16 à 25 ans (30 ans si handicap) non diplômés ou titulaire d’un BEP-CAP, sans emploi, avec une priorité sur les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV), les zones de revitalisation rurale (ZRR). D’une durée allant de 12 à 36 mois. Dans le secteur non marchand, le contrat peut être en CDD ou CDI. L’aide de l’État peut atteindre 75 % du SMIC dans le secteur non marchand et 35 % dans le secteur marchand, au niveau national.
Contrats aidés, entre inquiétudes et désarroihttp://www.aisnenouvelle.fr/37054/article/2017-08-18/contrats-aides-entre-inquietudes-et-desarroi
Le RC Lens suspend son entraîneur Alain Casanova
La décision fait suite au match désastreux contre Brest, ce samedi et aux très mauvais résultats depuis le début de saison.
Le RC Lens, en pleine tourmente faute de résultats en Ligue 2, a annoncé la suspension de son entraîneur Alain Casanova dimanche. Il est "provisoirement dispensé d'activité", précise le club.
Le responsable performance, Jonathan Alves et l'adjoint en charge de la préparation physique Denis Valour sont également suspendus.
Samedi, le RC Lens a enregistré face à Brest sa 4e défaite en quatre matches et a vu des supporters mécontents envahir le terrain, provoquant l'interruption de la rencontre pendant quinze minutes.
Ce samedi, le président du RC Lens Gervais Martel avait pourtant voulu jouer l'apaisement, déclarant à la presse : "Dans la précipitation, on ne va pas annoncer ou prendre des décisions ce soir. La réflexion se fait toujours avec notre actionnaire. Les séparations, si elles doivent se faire, se font dans le respect des individus. On a une réunion ce soir et il faudra attendre quelques heures pour avoir une décision définitive. Ça va mériter une réflexion, mais les décisions à chaud sont souvent idiotes. La situation est très préoccupante pour lui, mais surtout pour le club. La chose la plus importante c'est le RC Lens. Personne n'est irremplaçable, le sujet n'est pas là."
Le nom d'Eric Sikora, pilier du club et actuel entraîneur de la réserve est régulièrement cité pour remplacer Alain Casanova mais pour l'instant rien n'a été annoncé.
Eric Sikora sera d'ailleurs présent pour la conférence de presse organisée par le club demain, à midi, sous l'égide de Gervais Martel.
Nord Pas-de-Calaishttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-pas-calais
Le RC Lens, en pleine tourmente faute de résultats en Ligue 2, a annoncé la suspension de son entraîneur Alain Casanova dimanche. Il est "provisoirement dispensé d'activité", précise le club.
Le responsable performance, Jonathan Alves et l'adjoint en charge de la préparation physique Denis Valour sont également suspendus.
Samedi, le RC Lens a enregistré face à Brest sa 4e défaite en quatre matches et a vu des supporters mécontents envahir le terrain, provoquant l'interruption de la rencontre pendant quinze minutes.
Eric Sikora ?
Ce samedi, le président du RC Lens Gervais Martel avait pourtant voulu jouer l'apaisement, déclarant à la presse : "Dans la précipitation, on ne va pas annoncer ou prendre des décisions ce soir. La réflexion se fait toujours avec notre actionnaire. Les séparations, si elles doivent se faire, se font dans le respect des individus. On a une réunion ce soir et il faudra attendre quelques heures pour avoir une décision définitive. Ça va mériter une réflexion, mais les décisions à chaud sont souvent idiotes. La situation est très préoccupante pour lui, mais surtout pour le club. La chose la plus importante c'est le RC Lens. Personne n'est irremplaçable, le sujet n'est pas là."
Le nom d'Eric Sikora, pilier du club et actuel entraîneur de la réserve est régulièrement cité pour remplacer Alain Casanova mais pour l'instant rien n'a été annoncé.
Eric Sikora sera d'ailleurs présent pour la conférence de presse organisée par le club demain, à midi, sous l'égide de Gervais Martel.
Nord Pas-de-Calaishttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-pas-calais
Hirson : un enfant traverse un toit et se blesse gravement
Un enfant de 11 ans monté sur le toit d'une école primaire à Hirson a chuté de plusieurs mètres et s'est blessé à la jambe. Il a été pris en charge par le Samu et les pompiers. Son pronostic vital n'est pas engagé.
Il a traversé le toit en fibrociment et fait une chute de 2,5 mètres... Un enfant âgé de 11 ans serait gravement blessé à Hirson. Selon les gendarmes, il aurait une blessure importante à la jambe. Il serait monté sur le toit d'une école primaire, rue Bas Rouet, avant de chuter.
Il est actuellement pris en charge par le Samu et les pompiers. Son pronostic vital n'est pas engagé.
Hauts-de-Francehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/
Il a traversé le toit en fibrociment et fait une chute de 2,5 mètres... Un enfant âgé de 11 ans serait gravement blessé à Hirson. Selon les gendarmes, il aurait une blessure importante à la jambe. Il serait monté sur le toit d'une école primaire, rue Bas Rouet, avant de chuter.
Il est actuellement pris en charge par le Samu et les pompiers. Son pronostic vital n'est pas engagé.
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Un sénateur de l'Aisne présente un rapport sur les déserts médicaux
Un guichet unique pour les médecins, un lien direct entre le département et les ARS... Le sénateur de l'Aisne Yves Daudigny ne manque pas d'idées pour lutter contre les déserts médicaux. Il les inscrit dans un rapport co-signé par un sénateur du Loiret.
Difficile, en zone rurale mais pas uniquement, de trouver un généraliste pour une consultation dans l'Aisne. Et pour cause, le département est un des moins bien dotés en médecins de France.
Pour le sénateur de l'Aisne Yves Daudigny, les initiatives de l'État, mais aussi des collectivités et des soignants eux-mêmes, sont bien trop diffuses. Il présente un rapport à l'Assemblée qui propose d'y mettre un peu d'ordre.
"L'État, l'Assurance maladie, les professionnels ont multiplié les mesures. C'est intéressant mais ces propositions partent dans tous les sens, sans réelle stratégie globale ni évaluation", explique-t-il à nos confrères de Ouest France.
Lesénateur a des idées concrètes . Dans son rapport, co-signé par le sénateur du Loiret Jean-Noël Cardoux, il propose que les ARS (Agences régionales de santé) "organisent un tour de table avec les acteurs concernés" pour qu'ils puissent s'organiser et se concerter.
M. Daudigny préconise également la création d'un guichet unique pour les médecins "pour informer les candidats à l'installation sur les aides auxquelles ils peuvent prétendre, pour les épauler dans leurs démarches, les mettre en contact avec des confrères...", détaille le député, qui souhaiterait miser avant tout sur le réseau.
Depuis 2002, la région a missionné le Groupement de Coopération Sanitaire (GCS) e-santé Picardie de développer des systèmes d’information numérisés en santé, et de regrouper l’ensemble des acteurs. Mais pour l'instant, la télémédecine est une pratique auquelle nous avons trop peu recours.
Depuis quelques années, les habitants de l'Aisne voient débarquer de nouveaux praticiens aux noms à consonnance roumaine. Il y a deux ans, la commune de Gandelu a mis des annonces dans la presse spécialisée afin de trouver un médecin. Les premières réponses sont venues de sociétés spécialisées dans le recrutement des praticiens étrangers.
Une généraliste roumaine est venue s’installer en juillet 2011 avec son mari et sa fille lycéenne. "On a mis à sa disposition un cabinet médical, le logement et on a payé toutes ses charges : l’eau, l’électricité, le chauffage", explique le maire Denis Boudeville chez nos confrères de La Croix.
Seul hic, le médecin a quitté le département quelques mois plus tard
Hauts-de-Francehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/
Difficile, en zone rurale mais pas uniquement, de trouver un généraliste pour une consultation dans l'Aisne. Et pour cause, le département est un des moins bien dotés en médecins de France.
Pour le sénateur de l'Aisne Yves Daudigny, les initiatives de l'État, mais aussi des collectivités et des soignants eux-mêmes, sont bien trop diffuses. Il présente un rapport à l'Assemblée qui propose d'y mettre un peu d'ordre.
"L'État, l'Assurance maladie, les professionnels ont multiplié les mesures. C'est intéressant mais ces propositions partent dans tous les sens, sans réelle stratégie globale ni évaluation", explique-t-il à nos confrères de Ouest France.
Un guichet unique pour les praticiens
Lesénateur a des idées concrètes . Dans son rapport, co-signé par le sénateur du Loiret Jean-Noël Cardoux, il propose que les ARS (Agences régionales de santé) "organisent un tour de table avec les acteurs concernés" pour qu'ils puissent s'organiser et se concerter.
M. Daudigny préconise également la création d'un guichet unique pour les médecins "pour informer les candidats à l'installation sur les aides auxquelles ils peuvent prétendre, pour les épauler dans leurs démarches, les mettre en contact avec des confrères...", détaille le député, qui souhaiterait miser avant tout sur le réseau.
La télé-médecine comme solution ?
Le rapport ne s'arrête pas là. Les sénateurs proposent de mettre en place un cadre législatif financier pour que la télé-médecine se développe. Une solution soutenue par l'ARS en Picardie afin de lutter contre les inégalités d'accès aux soins.Depuis 2002, la région a missionné le Groupement de Coopération Sanitaire (GCS) e-santé Picardie de développer des systèmes d’information numérisés en santé, et de regrouper l’ensemble des acteurs. Mais pour l'instant, la télémédecine est une pratique auquelle nous avons trop peu recours.
Des médecins étrangers dans l'Aisne
Depuis quelques années, les habitants de l'Aisne voient débarquer de nouveaux praticiens aux noms à consonnance roumaine. Il y a deux ans, la commune de Gandelu a mis des annonces dans la presse spécialisée afin de trouver un médecin. Les premières réponses sont venues de sociétés spécialisées dans le recrutement des praticiens étrangers.
Une généraliste roumaine est venue s’installer en juillet 2011 avec son mari et sa fille lycéenne. "On a mis à sa disposition un cabinet médical, le logement et on a payé toutes ses charges : l’eau, l’électricité, le chauffage", explique le maire Denis Boudeville chez nos confrères de La Croix.
Seul hic, le médecin a quitté le département quelques mois plus tard
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Accident Mondrepuis
Info Aisne Info
MONDREPUIS : Sur la D1043.
Les secours sont engagés pour un accident de la route, impliquant un véhicule avec une caravane, seul en cause, sur le toit.
MONDREPUIS : Sur la D1043.
Les secours sont engagés pour un accident de la route, impliquant un véhicule avec une caravane, seul en cause, sur le toit.
samedi 19 août 2017
Les usagers commencent à se faire entendre
Fondée il y a un an, l’Association des usagers des transports Aisne Nord (Autan) obtient des résultats en dialoguant avec la SNCF et les pouvoirs publics. Mais ses membres ont encore des réclamations. Passage en revue des victoires et des combats des voyageurs saint-quentinois.
1 Ses victoires
« Lorsque nous nous sommes lancés, il n’y avait pas d’association d’usagers de transport à Saint-Quentin », rappelle Michel Magniez, secrétaire de l’association. Et depuis sa création il y a un an, le groupement d’usagers a obtenu gain de cause sur plusieurs dossiers. À commencer par les correspondances qui ont été rétablies à Laon. Ainsi les passagers qui partent de Saint-Quentin peuvent aller à Reims. Jusqu’alors seuls des trains – passant par Paris Nord – circulaient encore, mais le trajet était plus long.
Autan a également obtenu des améliorations sur le plan de l’accessibilité. Anne-Sophie Dujancourt, une enseignante qui se déplace en fauteuil roulant, témoigne : « Le programme Accès de la SNCF prend en charge les personnes handicapées. Et on sent une amélioration depuis une dizaine d’années. De vrais efforts sont faits à Saint-Quentin ».
Autre axe important : la défense des usagers verbalisés à tort. En effet, parfois des erreurs techniques amènent les contrôleurs à mettre des amendes à des voyageurs qui ont pourtant payé leur billet. Autan les aide dans leurs démarches administratives pour leurs remboursements.
Enfin, les militants ont réussi à obtenir un gel des prix des abonnements. Ces derniers devaient augmenter dans la région.
Un deuxième point reste à améliorer : les infrastructures. « Nous avons un retard d’investissement sur les voies dans le nord de l’Aisne. » L’association réclame également des CORETER (Comité d’organisation régional TER) plus réguliers. Il s’agit de réunions avec la SNCF, la Région et les usagers. « Nous n’en avons eu qu’une seule qui a duré 2 heures à Laon. On aimerait que les élus locaux rencontrent les voyageurs plus souvent. »
Les bénévoles n’hésitent pas, par ailleurs, à communiquer dans les médias. Suite à la panne en gare Montparnasse ayant paralysé la moitié du pays le 30 juillet, Michel Magniez a créé un Hashtag « #yapasquamontparnasse ». Ce dernier a attiré l’attention de journalistes de France 5 qui lui ont accordé un reportage.
1 Ses victoires
« Lorsque nous nous sommes lancés, il n’y avait pas d’association d’usagers de transport à Saint-Quentin », rappelle Michel Magniez, secrétaire de l’association. Et depuis sa création il y a un an, le groupement d’usagers a obtenu gain de cause sur plusieurs dossiers. À commencer par les correspondances qui ont été rétablies à Laon. Ainsi les passagers qui partent de Saint-Quentin peuvent aller à Reims. Jusqu’alors seuls des trains – passant par Paris Nord – circulaient encore, mais le trajet était plus long.
Autan a également obtenu des améliorations sur le plan de l’accessibilité. Anne-Sophie Dujancourt, une enseignante qui se déplace en fauteuil roulant, témoigne : « Le programme Accès de la SNCF prend en charge les personnes handicapées. Et on sent une amélioration depuis une dizaine d’années. De vrais efforts sont faits à Saint-Quentin ».
Autre axe important : la défense des usagers verbalisés à tort. En effet, parfois des erreurs techniques amènent les contrôleurs à mettre des amendes à des voyageurs qui ont pourtant payé leur billet. Autan les aide dans leurs démarches administratives pour leurs remboursements.
Enfin, les militants ont réussi à obtenir un gel des prix des abonnements. Ces derniers devaient augmenter dans la région.
2 Des demandes en suspens
Toutes ces victoires appellent de nouveaux combats. Comme beaucoup d’associations d’usagers, Autan demande des tarifs plus lisibles. « Il faut avoir fait polytechnique pour comprendre les prix de la SNCF ! »Un deuxième point reste à améliorer : les infrastructures. « Nous avons un retard d’investissement sur les voies dans le nord de l’Aisne. » L’association réclame également des CORETER (Comité d’organisation régional TER) plus réguliers. Il s’agit de réunions avec la SNCF, la Région et les usagers. « Nous n’en avons eu qu’une seule qui a duré 2 heures à Laon. On aimerait que les élus locaux rencontrent les voyageurs plus souvent. »
3 Comment se font-ils entendre ?
Et pour obtenir des résultats, le collectif mise sur une stratégie de dialogue apaisé : « Nous avons des rencontres avec la SNCF tous les mois, nous échangeons aussi régulièrement avec les élus à tous les échelons ». Une action constructive qui porte ses fruits. Mais l’association ne s’est pas arrêtée là. Elle a été l’un des premiers groupements d’usagers à être reçus par la ministre des Transports Élisabeth Borne. « Elle nous a assuré qu’elle était consciente du manque d’investissement dans les voies. En conséquence, le transport régional est sa priorité. »Les bénévoles n’hésitent pas, par ailleurs, à communiquer dans les médias. Suite à la panne en gare Montparnasse ayant paralysé la moitié du pays le 30 juillet, Michel Magniez a créé un Hashtag « #yapasquamontparnasse ». Ce dernier a attiré l’attention de journalistes de France 5 qui lui ont accordé un reportage.
La SNCF face aux revendications
Du côté de la SNCF, l’association est plutôt bien vue. « C’est un groupe constructif avec qui nous avons de bons échanges » avance Patrick Fauqueux, le responsable relation presse en Picardie. Même son de cloche du côté de Michel Magniez : « On a tendance à penser que la SNCF se moque des revendications des usagers, mais en réalité ils recherchent des interlocuteurs pour faire remonter les problèmes. »
À propos des revendications actuelles de l’association (voir point 2 dans l’article), la SNCF répond : « Les grilles de tarifs sont en cours d’harmonisation avec les Hauts-de- France. À terme, ce sera plus lisible pour les usagers. » Sur la question des infrastructures, Patrick Fauqueux défend ses équipes : « SNCF réseau est en train d’investir 300 millions d’euros dans la région. Avec des travaux autour de Saint-Quentin […] Les gens ne les voient pas car on travaille de nuit, mais nous avons 35 chantiers majeurs en cours. »
La région, quant à elle, est chargée de l’organisation des CORETER (Comité d’organisation régional TER). À ce propos, le président de la commission Transport, Franck Dersin, précise : « C’est vrai qu’en 2016 nous n’en avions fait qu’un seul par département. Leur nombre va augmenter au deuxième semestre 2017, mais dans l’Aisne, il y en aura toujours un par an. »
Les usagers commencent à se faire entendrehttp://www.aisnenouvelle.fr/37067/article/2017-08-18/les-usagers-commencent-se-faire-entendre
À propos des revendications actuelles de l’association (voir point 2 dans l’article), la SNCF répond : « Les grilles de tarifs sont en cours d’harmonisation avec les Hauts-de- France. À terme, ce sera plus lisible pour les usagers. » Sur la question des infrastructures, Patrick Fauqueux défend ses équipes : « SNCF réseau est en train d’investir 300 millions d’euros dans la région. Avec des travaux autour de Saint-Quentin […] Les gens ne les voient pas car on travaille de nuit, mais nous avons 35 chantiers majeurs en cours. »
La région, quant à elle, est chargée de l’organisation des CORETER (Comité d’organisation régional TER). À ce propos, le président de la commission Transport, Franck Dersin, précise : « C’est vrai qu’en 2016 nous n’en avions fait qu’un seul par département. Leur nombre va augmenter au deuxième semestre 2017, mais dans l’Aisne, il y en aura toujours un par an. »
Les usagers commencent à se faire entendrehttp://www.aisnenouvelle.fr/37067/article/2017-08-18/les-usagers-commencent-se-faire-entendre
Reconstitutions de batailles entre Romains et Barbares dans l'Aisne
Vie de camp et artisanat, mariage romain, attaque du fortin et bataille entre Romains et Barbares... Plus de 3000 participants costumés de 15 nationalités différentes vont se rassembler ce week-end dans l'Aisne, à Marles, lors du festival "Romains & Barbares". L'occasion de découvrir les coutumes de l'époque et se plonger dans l'Histoire avec un grand H.
Nos équipes seront sur place dès demain.
Au programme :
► Samedi 19 août (temps fort):
Nos équipes seront sur place dès demain.
Au programme :
► Samedi 19 août (temps fort):
- 14h : ouverture au public
- 16h30: la grande bataille
- 19h : fermeture au public
- 10h : ouverture au public
- 12h45-14h : repas
- 15h-15h30 : manœuvres de l’armée romaine
- 15h30-16h : manœuvres de l’armée germanique
- 16h30-17h30 : la grande bataille
- 19h : fermeture au public
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vendredi 18 août 2017
Roubaix : une jeune femme écrouée pour le meurtre et le viol présumés de sa mère
Une jeune femme et son compagnon ont été mis en examen et écroués pour le meurtre et le viol présumés de sa mère fin juillet, a-t-on appris jeudi de sources concordantes.
"Deux personnes, dont la fille de la victime, ont été mises en examen du chef d'homicide volontaire accompagné d'un autre crime (viol)", a rapporté le parquet de Lille. "Elles ont été placées en détention provisoire".
La jeune femme, âgée de 20 ans et originaire de Roubaix, avait donné l'alerte le 28 juillet en prétendant auprès de la police avoir retrouvé le corps sans vie de sa mère chez elle, a rapporté une source policière. L'autopsie révèlera de nombreux hématomes et une mort par asphyxie.
Selon la Voix du Nord qui a révélé l'information, le cadavre présentait également des traces de sévices sexuels. En garde à vue, la jeune femme a raconté avoir voulu faire avouer à sa mère, en la violentant, des sévices subis lors de son placement en famille d'accueil de six à 18 ans. Le rôle de son compagnon n'a pas encore été éclairci
Nord Pas-de-Calaishttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-pas-calais
"Deux personnes, dont la fille de la victime, ont été mises en examen du chef d'homicide volontaire accompagné d'un autre crime (viol)", a rapporté le parquet de Lille. "Elles ont été placées en détention provisoire".
La jeune femme, âgée de 20 ans et originaire de Roubaix, avait donné l'alerte le 28 juillet en prétendant auprès de la police avoir retrouvé le corps sans vie de sa mère chez elle, a rapporté une source policière. L'autopsie révèlera de nombreux hématomes et une mort par asphyxie.
Selon la Voix du Nord qui a révélé l'information, le cadavre présentait également des traces de sévices sexuels. En garde à vue, la jeune femme a raconté avoir voulu faire avouer à sa mère, en la violentant, des sévices subis lors de son placement en famille d'accueil de six à 18 ans. Le rôle de son compagnon n'a pas encore été éclairci
Tourcoing - Quesnoy-sur-Deûle - Wattrelos : course-poursuite suite à un enlèvement
Hélicoptère, véhicules de gendarmerie et de police... Ce jeudi en fin d'après-midi, de nombreux habitants de la métropole lilloise, notamment autour de la rocade Nord-Ouest, Wattrelos et Tourcoing, ont compris qu'il se passait quelque chose de peu ordinaire
Selon La Voix du Nord, ce dispositif a été mis en place dans le cadre d’une affaire d’enlèvement et de séquestration à Quesnoy-sur-Deûle, survenue ce jeudi. L'objectif était d'interpeller le ravisseur (un homme qui aurait enlevé son ex-compagne), ce qui a été fait après une spectaculaire course-poursuite. La victime est saine et sauve.
Une Clio grise a notamment été vue en train d'emprunter la bretelle accès d'autoroute au niveau de Roncq vers Gand à contre-sens. Des bouchons se sont également formés à Tourcoing dans le secteur du Pont de Neuville. C'est là que l'interpellation de l'homme aurait eu lieu.
jeudi 17 août 2017
Aéroport de Lille-Lesquin : un enfant atteint d'une varicelle non contagieuse débarqué d'un avion
L'histoire démarre comme un banal départ en vacances à l'aéroport de Lille-Lesquin. Le 02 Août 2017, une famille de Roost-Warendin (près de Douai) s'apprête à partir aux Baléares avec deux enfants, âgés de 21 mois et 5 ans.
Le plus jeune a attrapé la varicelle quelques jours auparavant mais n'est plus contagieux. "Les boutons étaient secs", selon le père Harald Knauff. Une hôtesse voit les boutons sur le visage de l'enfant et demande si la famille dispose d'un certificat médical prouvant qu'il n'est plus contagieux. Surprise. Consternation. Non, ils ne disposent pas de ce document et n'y ont pas du tout pensé. "Ni l'agence de voyage, ni le voyagiste et ni la compagnie aérienne ne mettent cela en avant au moment de la réservation. On n'avait jamais entendu ça avant".
L'hôtesse les laisse tout de même embarquer. Une fois dans l'avion, une autre hôtesse est plus radicale et leur demande carrément de sortir. "On a été évacués comme des pestiférés. Le petit de 5 ans ne comprenait pas pourquoi on nous empêchait de rester dans l'avion. Tout s'est fait dans l'indifférence des autres passagers." Pas de départ aux Baléares. La famille rentre chez elle, choquée, dégoûtée...
Le lendemain, elle se rend chez son médecin traitant qui lui délivre immédiatement un certificat médical spécifiant que l'enfant n'est plus contagieux. 4 jours plus tard, un autre avion les emmène sans souci aux Baléares. Surcoût de l'opération : 500 euros et 4 jours de location perdus.
De retour dans le Nord, la famille multiplie les démarches pour tenter de se faire rembourser : "Apparemment, ça va être très compliqué, explique le père de famille. Je veux que ce genre d'histoires soit connu. On nous laisse monter dans l'avion. Et on est mis dehors comme ça. Ce n'est pas normal !"
Après des recherches sur internet, il a trouvé quelques histoires similiaires (notamment à Bordeaux, l'an dernier ou en Angleterre en 2011). "Apparemment c'est dans le réglement intérieur de la compagnie tchèque Travel Services qui devait nous transporter. Comment voulez-vous qu'on le connaisse ce réglement ? On a su au dernier moment que c'était cette compagnie." Nous n'avons trouvé aucune mention directe de la varicelle sur le site de la compagnie. Une mention de la notion de maladie infectieuse est visible sur un formulaire de santé difficile à retrouver. Mais il n'est pas indiqué qu'il est nécessaire de prouver par un certificat médical que l'on n'est pas contagieux.
Nord Pas-de-Calaishttp://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-pas-calais
Le plus jeune a attrapé la varicelle quelques jours auparavant mais n'est plus contagieux. "Les boutons étaient secs", selon le père Harald Knauff. Une hôtesse voit les boutons sur le visage de l'enfant et demande si la famille dispose d'un certificat médical prouvant qu'il n'est plus contagieux. Surprise. Consternation. Non, ils ne disposent pas de ce document et n'y ont pas du tout pensé. "Ni l'agence de voyage, ni le voyagiste et ni la compagnie aérienne ne mettent cela en avant au moment de la réservation. On n'avait jamais entendu ça avant".
L'hôtesse les laisse tout de même embarquer. Une fois dans l'avion, une autre hôtesse est plus radicale et leur demande carrément de sortir. "On a été évacués comme des pestiférés. Le petit de 5 ans ne comprenait pas pourquoi on nous empêchait de rester dans l'avion. Tout s'est fait dans l'indifférence des autres passagers." Pas de départ aux Baléares. La famille rentre chez elle, choquée, dégoûtée...
Je veux que ce genre d'histoires soit connu
Le lendemain, elle se rend chez son médecin traitant qui lui délivre immédiatement un certificat médical spécifiant que l'enfant n'est plus contagieux. 4 jours plus tard, un autre avion les emmène sans souci aux Baléares. Surcoût de l'opération : 500 euros et 4 jours de location perdus.
De retour dans le Nord, la famille multiplie les démarches pour tenter de se faire rembourser : "Apparemment, ça va être très compliqué, explique le père de famille. Je veux que ce genre d'histoires soit connu. On nous laisse monter dans l'avion. Et on est mis dehors comme ça. Ce n'est pas normal !"
Après des recherches sur internet, il a trouvé quelques histoires similiaires (notamment à Bordeaux, l'an dernier ou en Angleterre en 2011). "Apparemment c'est dans le réglement intérieur de la compagnie tchèque Travel Services qui devait nous transporter. Comment voulez-vous qu'on le connaisse ce réglement ? On a su au dernier moment que c'était cette compagnie." Nous n'avons trouvé aucune mention directe de la varicelle sur le site de la compagnie. Une mention de la notion de maladie infectieuse est visible sur un formulaire de santé difficile à retrouver. Mais il n'est pas indiqué qu'il est nécessaire de prouver par un certificat médical que l'on n'est pas contagieux.
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