Selon Pierre Deboisguibert, responsable de la Société de vènerie, «lorsque malheureusement un animal se réfugie sur une propriété privée, les règles sont d’une clarté limpide (...) Les chiens sont rappelés et on prévient les forces de l’ordre. Les gendarmes doivent ensuite entrer en contact avec les propriétaires des lieux qui doivent prendre une décision », indique-t-il au Parisien. L'animal est alors repousser vers la foret ou abattu, avec l'accord du propriétaire.
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